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Nul, nul, et re-nul ce Jean-Paul Brighelli qui se prend pour un intellectuel-philosophe lucide.
Ce qui m’a scié, c’est la citation de Churchil, alors même que les cause de la SGM sont clairement le refus par la France de s’allier avec l’URSS et ce, malgré les négociations lancées via Molotov !
Alors ce gros naze, totalement inculte, voudrais me faire croire que les élèves refusent l’enseignement parce qu’ils sont consuméristes ?
1) La blague car le gars, il demande tout simplement des augmentations de salaire. Pourquoi ? Pour arriver en costard sur-mesure et en belle voiture ? Méthode j’insipire le respect avec ma tire et mes salopes, je fais du rap.
2) Les élèves un MINIMUM éveillé, ils ont bien compris que les profs ne maîtrisent pas, dans leur immense majorité, leur sujet. C’est moins vrai en sciences (math + physique, chimie) qu’en humanité. Là c’est la CATASTROPHE. Histoire made in vainqueurs, Biologie avec "dessine-moi le VIH qu’on a jamais vu" (on zappe évidemment la partie qui dit que le VIH n’a JAMAIS été observé.
Alors mon tout petit, ridicule Jean-Paul Brighelli, si tu pouvais déjà l’ouvrir pour nous dire que si le métier de professeur est un beau métier, RESPECTABLE, mais infesté de sombres crétins, j’écouterais peut-être un peu plus ton discours revenchard.
Dans son état actuel, c’est une plaisanterie, tant le problème vient :
1) Du programme (notamment en histoire)
2) Des profs (quand je vois le niveau des élèves en licence ça fait peur (mais maintenant le MASTER EST OBLIGATOIRE -> Niveau affligeant aussi))
3) Des parents (laxistes au possible)
4) Des élèves (et ce sont bien les derniers responsables !)
Collège unique, mixité, profs gauchistes, école "ringardisée" qui ne fait plus le poids face au monde extérieur (médias, rap et autres trucs hypes prônant la bêtise et l’ignorance), féminisation du corps enseignant et des mentalités (profs en panique face à des gamines de 13ans), immigration et idéologie anti-France, voilà les ingrédients qui ont menés à la catastrophe actuelle.
Pardon mais il faudrait arrêter un peu avec le rap.
Le rap par-ci, le rap par-là, le rap à toutes les sauces et à l’origine de tous les maux.
Cette forme d’expression artistique a une histoire, courte, certes, mais riche d’une multitude de courants, d’approches et d’influences. C’est une musique de pauvre, loin d’être pauvre en contenu et qui reflète une réalité sociale.
Ce style de musique peut ne pas plaire, mais il est inepte de le réduire au spectacle affligeant et vulgaire donné dans la majorité des clips actuels de pseudo rapeurs qui ne sont que des oeuvres mineures récupérées par le système et les marchands.
Pour exemple et parmi beaucoup d’autres, peu promus par "la machine" : http://www.youtube.com/watch?v=7pQQ... http://www.youtube.com/watch?v=iZaR...
A bon entendeur... Amitiés à tous.
Le jazz aussi, c’est une musique de pauvres - bien plus pauvres que les habitants d’immeubles à loyer modéré avec électricité, chauffage et eau courante. Pourtant, il possède une richesse et un génie que le rap ne pourra jamais atteindre. Le rap, c’est le macdo de la musique.
Mosdef "Gangsta rap" si tu veux. Vous avez très bien compris de quoi je parle.
VISION utilitariste de l’école et, c’est vrai, immigration de masse alliée à une propagande anti-française : voilà comment on a détruit l’école publique...il ne faut pas en vouloir aux élèves( difficile à 13 ans de résister à internet, facebook etc.), mais bien plus aux parents : souvent incultes et immatures : les enfants suivent les modèles qu’ils ont sous les yeux...
Dans sa première intervention, l’invité ne dit que des conneries.
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Peut-être a-t-il, à l’instar des BHL et consorts, obtenus une agrégation de lettres en pleine débandade mais je doute qu’aujourd’hui il soit capable de passer le CAPES de philo avec une licence d’histoire....
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En réalité, je ne sais pour quelle raison, les concours (CAPES, Agreg) sont en passe d’être verrouillés, la majorité de ceux qui les obtiennent étant désormais des normaliens, formés dans un esprit complétement différent de celui de la fac (et en l’occurrence je parle de fac comme celle de Lyon III, là où les maîtres de conférence sont en costume, ne font pas grève, et savent se faire respecter).
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Du coup c’est un peu comme ces médecins qui ne sont plus choisis parce qu’ils sont aptes à soigner, ce qui nécessite une certaine empathie naturelle, mais parce qu’ils savent poser des équations apprises par coeur, ce qui laisse la place à tous les arrivistes avides qui, plutôt que de porter secours aux malades, se placent dans les cliniques des beaux quartiers et s’achètent une Cayenne.
Pour une reconciliation nationale ! Très bel objectif, reste à expliquer comment l’atteindre.
Il semble que certains aient du mal à se défaire des stéréotypes classiques du clivage droite-gauche qui précisément empêchent toute réconciliation...
Exercice n°1 : lire Brighetti et comprendre que la gente enseignante ne s’analyse pas comme un milieu homogène de "gauchistes tire-au-flan, idiots utiles des élites libérales-libertaires", c’est tentant (même pour celui qui écrit ces lignes) mais innexact et surtout contre-productif vis-à-vis de l’objectif à atteindre...
Je trouve Brighelli toujours aussi bon. Je conseille son livre "la fabrique du cretin".
Merci pour la vidéo.
C’est incroyable ce nivellement par le bas avec des auditeurs qui ont la parole. La plupart du temps ils raisonnent comme des tambours. Dans le cas d’espèce, l’invité donne un avis d’expert, sur une question vaste, complexe, concernant de nombreuses données qu’il connaît. Et on lui oppose des personnes qui connaissent leur cas (et encore), peut-être même pas celui du voisin et qui remettent en cause son analyse global.
Ca me fait penser à quelqu’un n’y connaissant rien en mécanique et à qui son garagiste dit qu’il y a des réparations urgentes et indispensables à faire et qui lui répondrait : "Oh, attends, j’ai réussi à rouler jusque-là alors je peux rouler encore des millions de kilomètres sans problèmes. Mon volant tourne et mes vitesses passent alors ton avis n’a aucune importance !". Comme si le fait qu’il y ait un éventuel problème était juste dû à la manière de voir le choses. Quand tu roules et que tu vois un mur devant toi, le fait de freiner n’est pas du pessimisme mais la correcte évaluation de la situation. La réaction de la première auditrice est celle de quelqu’un qui ne tiendrait compte que de quelques mètres devant sa voiture pour conduire. C’est sûr que comme ça tu ne vois pas les obstacles mais est-ce la meilleure manière de conduire ?
Que de diatribes bêtes et stupides (et hors propos) parmi les commentaires ! Et plus particulièrement sur les profs...
=> Première remarque : les profs, des gauchistes ? Oui à une certaine époque sans doute mais sachez bien qu’aujourd’hui c’est bel et bien fini. Les profs sont désormais pour la plupart apathiques politiquement, et votent autant à gauche qu’à droite, voire - suprême pied de nez - pour le FN (à placer pour certains qui ne semblent même pas envisager cette possibilité, eh oui j’en suis un).
Parce qu’ils ont bien compris, du moins au niveau de l’inconscient collectif, à leur corps défendant que l’idéal progressiste qu’on leur a vendu des décennies ne peut définitivement pas fonctionner. Mais leur hiérarchie ainsi que ces diables en boîte de parents d’élèves leur intime socialement de poursuivre un idéal éducatif hors du champ de la rationalité éducative la plus élémentaire. J’insiste sur ce point. Les enseignants se retrouvent concrètement désemparés, coincé entre la norme institutionnelle et la pression de la société, dès qu’il s’agit de transmettre un savoir ou de poser ou signifier un interdit (cf. "Entre les murs").
Quant aux quelques enseignants courageux qui cherchent à transmettre un savoir de façon rationaliste, ils subissent la pression de leur hiérarchie (cf. Marc Le Bris), de leurs collègues au point de vue progressiste - et toujours de ces parents d’élèves, inconstant voire hystériques (la très grande majorité des représentants étant des femmes) pour qui leur enfant serait sorti directement de la cuisse de Jupiter.
=> Deuxième remarque : ER étant une association politique trans-courant dont le but est d’élever le niveau, certains des précédents commentateurs seraient gré de sortir de leurs fantasmes et de leurs anecdotes - peut-être vrai à titre individuel, mais tellement hors de propos dès qu’on observe le système éducatif dans son ensemble.
Aucun des thuriféraires de l’incompétence supposée des enseignants ne se donnent la moindre peine de réfléchir conceptuellement et d’apporter autre chose que des éléments relevant de leur petite personne. C’est triste.
Aucun des thuriféraires de l’incompétence supposée des enseignants ne se donnent la moindre peine de réfléchir conceptuellement et d’apporter autre chose que des éléments relevant de leur petite personne. C’est triste
Comme je fais partie de ces thuriféraires (avec nuances, tout de même), je vais m’exécuter en produisant un (petit) concept :
Le problème des profs de primaire ou de secondaire, c’est qu’ils ne quittent en fait jamais le milieu scolaire... on quitte la FAC pour enseigner dans la foulée...
J’affirme qu’on ne peux pas enseigner lorsqu’on a 25 ans...
Rien à voir avec les compétences... c’est une question de vécu, de maturité, de charisme et donc de crédibilité vis à vis des élèves...
Bref, les profs du primaire et secondaire devraient être recrutés (et formés, bien sûr) parmis des gens ayant déjà fait carrière... cela se fait d’ailleurs massivement dans le supérieur...
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* Ca permettrait aussi de faire des gestions de carrière cohérentes pour les "seniors"...
Je ne pense pas qu’il faut avoir "fait carrière" pour enseigner dans le primaire. Là nous demandons essentiellement aux enseignants d’apprendre à nos enfants à lire, écrire et compter.
Pour le secondaire peut-être plus d’expérience en effet.
J’ai un très haut diplôme et comme je ne trouvais pas de boulot j’ai essayé d’être prof, 1500 euros c’est pas énorme mais c’est mieux que rien !!!!
La réalité c’est que 18h c’est cool, tu torches tes cours et t’es tranquille. Ok t’as un peu de préparation et quelques corrections mais c’est pas la mort (en général, si t’es bien organisé, t’as rien à faire pendant les vacances et t’as les WE peinards) mais ça les cocos, c’est si t’es dans un bon collège parce que sinon c’est l’enfer sur terre.
Les classes de dégénérés sont épouvantables, je rentrais le soir complètement dingue et ma femme et mes gosses le sentaient. Désolé pour la réconciliation mais les "non de souche" (mohamed et aboudou) sont les plus durs (les moins bons aussi) mais paradoxalement après confrontation viril ils me respectaient et on arrivait à un statu quo pour qu’ils me foutent une paix relative. Pour faire bonne mesure quand même, les "de souche" les plus durs sont irrécupérables (kévin et jordan), eux rien à faire, définitivement irrécupérables.
Prof c’est "le jeux de la vie" des inconnus, soit t’es dans un poste de petit parasite glandouilleur (tu dois même pouvoir éventuellement enseigner ???) soit t’es dans la tranchée et tu risques ta peau ... pour de vrai.
C’est hallucinant de constater que vous ayez besoin de faire une différence "physique" entre vos élèves.
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Et pour faire bonne figure, vous dites être désolé pour la réconciliation.
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Mais biensûr, il vaut mieux voir les défauts ("physiques") chez les autres que de les chercher chez soi !
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Ce qui me désole, moi, dans votre message, c’est de voir qu’il existe encore des enseignants faisant cette distinction et s’excusant pour la réconciliation.
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Je pense pour ma part que vous n’étiez pas à votre place. On ne devient pas enseignant, on l’est ou on ne l’est pas. Votre stress (ou pression) ne justifie en rien vos compétences.
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Salut,
Je n’ai pas très bien compris ton message, mais je vais essayer d’éclaircir quelques points.
Mon commentaire n’est qu’un témoignage "factuel", j’ai vu les différences de comportements en fonction de l’origine des élèves (c’est le physique dont tu parles je pense), qui puis je ? Elles sont là, reproduites de classes en classes, de profs en profs, est ce représentatif ? je ne sais pas mais j’ai l’impression que c’est très probable. C’est juste un fait observable (par moi en tout cas).
Par contre j’ai foiré ma figure de style avec mon "désolé pour la réconciliation", c’était pour dire en clair : hélas la réconciliation avec les populations d’origines étrangère aujourd’hui française ça va être très très dur et ça m’est d’autant plus difficile de le dire ici alors qu’il y a pas mal de patriotes "immigrés" dont je me sens plus proche que des gauchistes du cru. Je ne suis pas un grand écrivain désolé.
Pour finir, vu la pression pour trouver du travail, je fais ce "job" par défaut. Ce qui est drôle c’est je n’aime pas ce métier et pourtant les élèves disent qu’ils apprennent mieux avec moi (je remplace des profs malades). Ca me fait marrer ce genre de paradoxe.
J’ai un très haut diplôme et comme je ne trouvais pas de boulot j’ai essayé d’être prof, 1500 euros c’est pas énorme mais c’est mieux que rien !!!!
Nous cherchons les causes du marasme de notre école ?...
Le broua-a.... Et des boules dans les oreilles ! Si en plus ils ne savent pas les faire courir pour décharger leur surplus d’énergie ! Si ils n’aiment pas leur jeunes...
INCAPABLES !
APPELLER SUPERNANNY !
Vous pouvez citer toutes les causes que vous souhaitez, les profs dans leur majorité sont bel et bien sous pression, et certains d’entre eux en arrivent à être totalement désespérés.
C’est la réalité.
Ils ne le choisissent pas, le fonctionnement global du système, de la société dans son ensemble, le leur impose.
Pour régler le problème qui concerne les professeur, c’est un changement majeur dans notre mode de fonctionnement qu’il faudrait appliquer.
Cela ne se limite pas aux salaires, ou à la vocation que l’on cherche à donner.
Ils payent simplement le fruit de leur idéologie, durant toutes ces années qui ont vu Allègre, Ferry et autres tenter de réformer le mammouth, ils s’y sont opposées vigoureusement . Maintenant qu’ils ont désacraliser leur outil de travail, qu’ils ont laissé à la porte la morale et la droiture, l’égalité au profit de la réussite, interdire d’interdire, il est chose normale que maintenant ils récoltent ce qu’ils ont semés. Je n’aurais pas plus de considérations pour eux, durant les nombreuses discussions que j’ai pu avoir avec eux, j’ai bien compris le produit de leur réflexion, une idéologie marxiste, athée et violente sans concession avec les notions bien plus bienveillante pour la nature humaine. Tant pis pour eux, l’échec est sans appel, il n’y a plus rien à faire à part mettre ses enfants dans des écoles privées donc catholique. Quelque part il y a un juste retour des chose