Vous pensiez qu’on ne pouvait pas tomber plus bas ? Eh bien vous vous trompiez. Car c’est Arielle Dombasle, madame BHL à la ville, qui chantera l’hymne olympique à Paris le 14 Juillet !
Le titre sort aujourd’hui et s’appelle, parce qu’on est en France, Olympics. C’est le comité Paris 2024 qui a choisi cette immense chanteuse d’opérette.
« J’ai écrit cet hymne pour les femmes
et gloire aux premières athlètes féminines ! »
Le Figaro nous apprend qu’Arielle, qui ne doit pas être loin des 100 verges, pardon, des 100 berges, est une grande sportive : elle exerce la natation et la danse classique.
On la voit surtout nager au Crillon et avoir une doublure corps dans ses clips, mais ce sont des détails devant la légende Dombasle. Le ravi de TV5 semble fou d’elle :
On reste dans le chapitre sexuel avec la tenue des Japonaises aux JO : un équipementier a trouvé le moyen d’habiller ces dames pour éviter tout voyeurisme.
En effet, certains photographes, qui utilisent les infrarouges, peuvent deviner les dessous et les formes exactes des, euh, des endroits tropicaux des filles. Par exemple, des clichés très suggestifs de la badmintoneuse Reiko Shiota (eh ouais) ont fait sur le Net la joie ignoble des gros cochons.
Pareil pour la gymnaste Airi Hatakeyama qui s’est retrouvée sexualisée en ligne. Mais ça, vu le niveau d’inhibition de la sexualité au Japon, faut pas s’étonner que le nombre de fétichistes explose. Surtout pour un bout de culotte. On ne défend pas ces malandrins, mais chez nous, tout le monde se fout un peu d’une sportive qui attend le ballon le corps plié en deux. Et puis, avec Arielle en vestale olympique, les ardeurs devraient être refroidies.
Sinon, on n’a plus de nouvelles de l’Anne de Paris, peut-être qu’au village olympique, quelqu’un l’a ficelée à un arbre, comme Assurancetourix, tant elle semblait divaguer sur la fin.
On peut comprendre son stress : Macron, en balançant une grenade dans le Parlement, a mis une énorme pression en plus sur les Jeux, vu que la France peut partir en cacahuète le soir du 7 juillet.