ERFM | Avril 2023 |6 | Culture |
Vous appréciez les productions d’ERFM ? Soutenez-nous ! Front musical est l’une des nombreuses émissions d’ERFM. Présentée par Silvestrik, cette émission vous fera découvrir l’histoire et l’actualité de la musique d’un point de vue rarement diffusé sur les ondes conformistes ! La présentation de cet épisode : Le terme d’industrie musicale fait penser à un processus de fabrication. Pour savoir (...)
Traduction ERTV | Janvier 2023 |53 | CultureFuturOpinionsTechnologie |
Rick Betao est un musicien américain, auteur-compositeur, mais aussi ingénieur du son et producteur de disques. Il alerte ici sur le lent mais certain envahissement de la production musicale par le monde numérique et l’intelligence artificielle.
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Dans le même esprit, mais sur un style de musique différent, une analyse qui complète celle de notre ami sur le rock… où comment les musiques des génériques de James Bond se sont effondrées, qualitativement parlant.
Ce Monsieur est certes bien sympathique mais s’il allait au bout de son raisonnement, il dirait qu’il y a une grande musique, la classique ; de ce que l’homme européen a sans doute fait de plus beau et de plus abouti, ce qu’on nomme la Grâce.
Alors certes, on peut aimer ici et là certaines compositions musicales plus ou moins contemporaines mais la vérité est que face à la Grande Musique, tout le reste est de la merde intégrale.
Et même en prenant des interprétations de Bach à la guitare acoustique ; le son est hachuré, sans vibration ni tonalité, bref objectivement c’est laid : https://youtu.be/C_GW8XnEyY0
Ps : mon grand père qui élevait des porcs avait un piano sur lequel il s’exerçait à jouer quelques notes de musiques classiques et cette pratique était si pas commune, tout du moins assez présente même chez les petites gens ; preuve s’il en est de l’effondrement vertigineux de l’intelligence européenne.
Cordialement
Et bien non tout ce qui n’est pas du classique n’est pas de la merde et tu ne dois pas être musicien pour affirmer une ânerie pareille. La plupart des grands artistes du 20ème siècle ont des niveaux de musique qui nécessite minimum 5 à 8 heures de travail par jour voir plus TOUS les jours de la semaine !
Dans les années 80-90 on disait "c’est du Top50" pour dire que c’était de la daube.Marc Toesca d’ailleurs le présentateur du Top 50 avait arrêté parce qu’il en avait marre de promouvoir de la daube à longueur de semaines, genre Licence IV !
Le Top 50 n’a jamais empêché les choses plus alternatives ou underground d’exister. On ne met pas un flingue sur les gens pour qu’ils écoutent de la merde.
Soulignons qu’ un groupe plus ou moins underground qui "entrait "dans le Top 50 devenait "suspect" pour les puristes rockers .Ce fût le cas par exemples pour les Stranglers, Noir Désir ou La Mano.
Je me rappelle d’une émission de TV qui faisait la rétrospective de la chaine CANAL + . Et les anciens présentateurs de CANAL parlaient des émissions crées à l’époque, et ils parlent de l’émission TOP 50, qui vient d’être crée, et qui classait les meilleurs ventes de disques de l’année, en l’occurrence : l’an 1984. Les gauchos-bobos élitistes de la chaine s’attendaient à voir un artiste genre PRINCE arrivé 1er , et là c’est : "Besoin de rien, envie de toi"
Chanson de Peter et Sloane, qui arrive numéro 1, les gôchos-caviars ils étaient verts ! Ils affichaient comme du mépris pour ce peuple de beaufs qui avait des goûts de chiottes en terme de musique. C’était la preuve que la soit-disant "élite" et le peuple n’étaient pas du tout en phase "culturellement".
La seule interprétation sérieuse sur le contenu du Top 50 en France c’est que c’est de la musique de grand remplacement du début à la fin et il n’en parlent pas. Donc oui, je vois rien d’interessant dans son analyse.
Pour ma part, je suis d’accord avec lui sur le fait que j’ai vu le changement dès le milieu des années 90 avec l’avènement de Skyrap à la place de Skyrock (qui passait du Rock et qui portait bien son nom au Rap). Il y a eut à cette époque sur les ondes l’émergence de NTM qui commençait à passait tous les jours à la radio. On avait Maurice Champvert qui était un animateur radio sulfureux surnommé le sorcier des ondes à l’époque de Skyrock et Doc et Difool qui commençait à parler de sexualité aux jeunes ados de manière libre et sans tabou. La transition vers le mondialisme et la dégénérescence commençait...
Dans un dans un magazine musical, j’ai lu il y a plusieurs années, il doit y avoir plus de 20 ans je dirais, l’interview de Billy Gibbons, le guitariste de ZZ TOP. L’ une des questions abordait les préférences musical de Billy, et il répondit qu’il détestait la musique actuelle et plus particulièrement le RAP , de mémoire il dit un peu près ceci : " Il n’y a plus de musiciens qui jouent vraiment des instruments, mais ils utilisent des samplers, des boîte à rythmes, et toutes sortes de gadgets, ce n’est pas de la musique pour moi. Les noirs (américains.ndr) ont tout inventé en musique, ils nous ont donné des musiciens géniaux, des guitaristes d’exception, et là (avec le RAP, ndr) ils jouent de la musique avec un tourne-disque.
Le mec débarque ! La musique c’est de la merde depuis les années 90 non ? La dance, la techno, les boys band, les girls band, le rap (que ce soit le rap à l’eau ou gangsta-rap), le retour du disco, les reprises des tubes rétros, la variet-pop débile, le début des "TV réalité" télé-crochets. Ça sentait la fin, le sapin, ou le début de la fin, tout du moins. On inventait plus rien, on tournait en rond, on stagnait, on recyclait. Les années 90, se sont les années de désillusion. Fin des 80’s et de l’insouciance, début du chômage de masse et du dass. Fin de l’idéologie du grand soir, le capitalisme avait triomphé. On va passer le temps à broyer du noir. Le monde était "désenchanté". La musique a résonné avec l’époque, celle du cynisme, avec le grunge. Le métal rock s’est assombri, fini les groupes hard rock chevelus, colorés, aux tenues chamarrés, place au gothique, à la couleur noir comme le corbeau, comme l’âme du damné. Les yuppies, ces costards cravates cocaïnés, clones de Micron 1er, ont envahi le monde de la musique, et comme pour tout ce qu’ils touchent, ça devient de la merde. fini les artistes, place aux "winners" au "business plan" aux "carrièristes" au "segment de marché" et des termes d’ économistes qui rappelle la "ménagère responsable des achats", la musique qui était de l’art , est devenu un business, il faut faire du fric, point barre.
Douloureux constat, mais il n’y a pas que dans la musique, le cinéma c’est pareil, on n’invente plus on recycle : les jeux vidéos, les séries vintages, les bandes dessinées, les "comics" deviennent des films, la technologie aidant. Que ce soit pour la musique ou pour le cinéma l’avènement de l’ordinateur a tout chamboulé.
Les gens n’ont pas de talent, il ne savent pas chanter, jouer d’un instrument ou écrire de bons scénarios qu’a celà ne tienne, il y a l’ordinateur, l’instrument des fainéants, l’instrument des gens sans talent.
Rien de bien nouveau. Il y a près de quarante ans quand les Américains écoutaient les Rolling stones ou Aretha Franklin, les Français par millions écoutaient "la danse des canards" !
La musique est exclusivement allogene, plus de musique de blancs à 100 de QI.
Vigne ne parle pas du point le plus important.
Quand on écoute de la musique par des gens à 70 de QI voilà le résultat.
La loi Toubon qui oblige à passer du français a clairement eu pour effet de privilégier la diffusion de la merde mais il faut pas se leurrer, le problème numéro 1 c’est la démographie. Les rockeurs, les punks étaient blancs. Des Années 90 à aujourd’hui la différence c’est le remplacement totale de la jeunesse par les afro-musulmans et la rupture de connexion culturelle qui permet la promotion de la pire merde sur ce terrain propice.
Aaaah enfin ! @ Paul et @ Alfred ont soulevé l’argument que je n’ai lu dans aucun commentaire jusque là, sans vouloir offenser qui que ce soit. Ils ont détecté la véritable et plausible raison de la déchéance de la musique en occident. La noblesse et la sophistication de la musique classique européenne, donc blanche, est un fait. Mais comment le basculement, d’une musique aussi riche et aboutie vers une musique indigente et inachevée, a t’il eu lieu ? comment la virtuosité harmonique de l’orchestre symphonique, a t’il laissé la place à ce vacarme primitif fait de martèlement de tambour et de braillement ?
Le fait qu’il y ait eu un changement pour ne pas dire " remplacement" de la population a certainement modifié à la fois la production musicale et les goûts musicaux.
La suprématie du RAP n’est pas seulement due au fait que c’est une musique de jeunes, mais une musique appréciée par les allogènes, les blancs, par mimétisme se mettent à écouter les musiques de leurs potes rebeus ou renois pour ne pas être exclus et traités de " bouffons" ou de "bolos" de babtou fragile, et pour in fine imité les codes vestimentaires, d’expressions, de comportements des allogènes, et même à faire du RAP eux aussi. Les producteurs uniquement motivé par le profit vont privilégier le RAP, au détriment des autres styles musicaux, et ainsi nourrir le cercle infernal : les allogènes écoutent et consomment du RAP, donc on produit des "artistes" allogènes qui font du RAP pour que les allogènes consomment du RAP, du coup on produit encore plus de RAPPEURS allogènes pour que plus d’allogènes l’achètent et ainsi de suite, on se retrouve avec une production musicale exclusivement faite de RAP. Comme se sont des productions à la chaîne, la qualité des textes et de la musique s’en ressent.
Les États-Unis est le pays du capitalisme roi, le fait que la population américaine ait basculé numériquement du côté des latinos, explique que les majors privilégient pour des raisons purement commerciales et non pour des raisons de qualités artistiques les productions musicales latines. Le succès de toutes ces chanteuses chica latina : Demi Lovato, Ariana Grande, Selena Gomez, Camila Cabello, est un indice.
La pratique du twerk par des femmes blanches américaines et de toutes sortes de mimiques gestuelles ou verbales attribuées aux femmes noires américaines est la preuve du mimetisme des populations blanches, et du transfert des us et coutumes interraciale exercé par les afro-américains.