Tous les tapins que je connaissais (amies ou connaissance de jeunesse) étaient claires,ça paye mieux que caissière !
Après je comprends il y’a des subtilités dans le métier,les meilleures, c’était les michtonneuses, elles ont jamais eu besoin de prendre 2 citrons dans le fion pour prendre des ronds, elles n’avaient même pas besoin d’avoir de relations pour rentrer leur blé.
L’intelligence féminine a bien baissée

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c’est assez comique... franchement, on s’en fiche un peu... elle fait ce qu’elle veut. Personnellement, je suis pour la légalisation de la prostitution et de toutes les drogues : nous sommes adultes (et, de toutes façons, les gens y vont clandestinement). Je suis plutôt pour la responsabilité individuelle. Là-dessus je suis libertarien. Au XIXème siècle les "aristos" se piquaient à la morphine. De toutes façons, la sélection naturelle est impitoyable, et ceux qui abusent s’éliminent eux-mêmes.

Je trouve que les tarifs des prostituées sont beaucoup trop élevés pour être intéressants. A Bruxelles à l’époque c’était 40/50 euros la passe en appartement, avec des jeunes femmes assez jolies. Mais franchement, on a mieux à faire avec 40 ou 50 euros. A quelques rares exceptions près, la relation avec une prostituée est vraiment nulle, standardisée et glauque. La plupart de ces filles sont des dégénérées mégalomanes et crétines, totalement aliénées dans leur esprit, et qui méprisent les hommes. J’ai rencontré quelques filles sympa et sensuelles (avec un peu d’humour sur la situation), mais c’est l’exception. A ce tarif, tu tires ton coup et tu dégages. Faut vraiment être soi-même dégénéré ou à la ramasse affectivement (j’étais pas frais à l’époque).

La prostitution et la pornographie dégradent le client. Cela vous renvoie une image de vous, et de votre légitime désir sexuel, totalement dévalorisée. Ca détruit l’homme intimement. Franchement, je préfère séduire une belette et l’inviter au restaurant ou en week-end. C’est sans commune mesure. On me dira que "c’est hypocrite car ça revient au même". Je vous garantis que non. Le libertinage n’a rien à voir avec la prostitution, et vice-versa. L’un est une activité libérale, l’autre une aliénation totale. En plus, étant beau mec et cultivé, et m’estimant un bon coup (mon orgueil !), je ne vois pas pourquoi je payerais une grognasse et pas le contraire. Franchement, il y a beaucoup de femmes qui peuvent s’estimer heureuses qu’on couche avec elles. Car même jolies, il y a de sacrées emmerdeuses ou des abruties (le ramage n’est pas forcément à la hauteur du plumage !).

Mais encore une fois, je suis pour la liberté sur ces sujets. Chacun est différent.

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Ceux qui connaissent la prostitution de l’intérieur, ce sont les maquereaux et les putes, seulement leurs témoignages ne sont pas fiables . Les clients réguliers, ou ceux qui ont vécu avec une prostituée, pourraient en parler objectivement, mais comme cette compréhension implique leur compromission, ils préfèrent s’abstenir .

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N’importe quel homme pourrait être un client.
Bah non ma grande. 51 barreaux et j’ai jamais été client, et certainement pas le tien, ça c’est clair et net.
Je suis même allé dans un bordel plutôt haut de gamme (c’était pas du tout le Lady Dallas) à La Jonquéra quand j’ai bossé sur Toulouse et, nada. J’avais résisté pendant un moment aux sollicitations de mes voisins pis un samedi où il y avait rien de prévu, j’ai accepté une invitation de 2 voisins qui s’y rendaient.
J’ai fait le malin, j’ai tiré que 100 euros, l’entrée plus un petit verre , il me restait déjà moins que le prix d’une girl ; 80€.

Et pourtant j’ai été accosté presque d’entrée par une Tchèque, toute façon il y avait que des bombes dans la boîte, et un voiz’ m’a même proposé de me prêter du blé, mais non.
Très bonne expérience au final. En fait le truc c’est une boîte de nuit, pareil mais avec des girls qui se baladent en lingerie de partout et qui essaient de croûter.

J’ai discuté avec une Roumaine super cool, elle m’a expliqué qu’elle était là pour 15 jours (c’était les vacances de Noël) pour payer son second semestre en école d’ingé en Roumanie. On a bien discuté autour d’un verre que je lui ai offert alors que je lui avais indiqué d’entrée que j’avais plus assez de blé pour obtenir ses services.

Et faut pas plaisanter là-dedans, j’ai vu un mec se faire dégager par la sécu pour une main inappropriée, ce fût musclé.

Au final, tu vois les conditions de travail dont elles bénéficient dans le bordel en repartant au petit matin.
Alors c’est pas la panacée de vendre ses fesses je le reconnais mais dans le genre, elles bossent en toute sécurité et hygiène.

Au petit matin donc, vers 5 heures, tu vois aux (nombreux) ronds-points des filles faire le pied de grue dans l’obscurité et le froid, avec aucune protection physique apparente dans un environnement de parkings poids lourds à perte de vue, bah je te l’dis, y’a pas photo avec le bordel.
Une vraie féministe devrait spontanément militer pour la régularisation de la prostitution (pour le social ; cotisations santé, vieillesse, chômage...) et des maisons closes (sociétal ; sécurité et hygiène...). Le reste c’est de la poésie ou de l’enfumage à la course aux subventions et l’argent facile.

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La phrase de Stéphane Edouard qui m’a m’a fait sourciller c’est " je ne suis pas complotiste , mais quand même "
Ne serait ce pas aussi une forme d’hypocrisie ?
Pour le reste il faut être sacrément perverse pour justifier à travers la soit-disant " enquèquette " journalistique de se faire sauter par des centaines de bites ; et en plus , cracher dans la soupe.

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...une femme qui, à 40 ans, se fait prendre en gangbang et le fait avec la veulerie du cache-sexe de l’enquête journalistique

Ca me rappel le fameux Usul qui, selon moi, s’est lâchement caché derrière ses soit-disant "porn-studies" pour ne pas reconnaître qu’il a agit comme une ordure qui a profité de son "aura" de youtuber à succès et de la fragilité psychique d’une "travailleuse du sexe et gameuse" pour tirer son coup et assouvir ses fantasmes les plus pervers (je n’ai rien contre le fait d’avoir des fantasmes, même "pervers" (jusqu’à un certains point quand même), mais faut assumer).

D’ailleurs, la dite travailleuse du sexe avait opérée une transition de sexe (ablaltion mammère notamment) et de genre, en plus de ses nombreuses "modifications corporelles" et "scarifications" (ce qui montre quand même une fragilité psychique assez grave à mon avis) pour aujourd’hui regretter ses décisions et dénoncer Usul pour l’avoir manipulée. Et d’ailleurs aujourd’hui cette jeune femme serait plutôt proche des milieux "identitaires" (papacito & co), ce qui prouve encore une fois sa fragilité psychique je pense.

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Découvrir que bien des femmes soient prêtes à coucher pour de l’argent me fait doucement rigoler. L’argent dans notre société est devenu le symbole de la réussite et de la puissance. Si certaines femmes sont effectivement forcées de se prostituer beaucoup choisissent le « métier » par pur vénalité. Quant aux clients, leur motivation reste la même : la satisfaction d’un besoin charnel qu’il ne peuvent ou ne veulent assouvir autrement ; car les femmes leurs sont inaccessible à cause de leur condition sociale, d’un physique ingrat, de leur âge ou parce que le mariage ou la vie en couple est maintenant empreint de cette même vénalité qui leurs fait redouter les conséquences d’une rupture après une union. L’engagement dans le mariage et la famille est autrement plus compromettant qu’une non-relation sexuelle commerciale qui n’en est qu’un succédané, un ersatz.
On pourrait parler d’inégalité entre hommes et femmes, sur ce plan-là, clairement à l’avantage des dames, car celles-ci savent bien qu’elles peuvent tenir un homme par ses inavouables appétits.

Le cliché de la belle blonde et du vieux en BMW, n’est certes pas près de disparaitre tout comme celui du Z’yva, économiquement faible, refoulé à l’entrée des boites de nuit ou sa Ziza de frangine entre parce qu’elle étale ses cuisses à grand coup de minijupe afin d’attiser les convoitises et que ca lui permet de ne pas payer !

En bref : La pute et le client, c’est le marché des pauvres ; le vieux la BMW et la blonde le marché des riches.

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Soisic Belin on doit pas lui tremper que des petits beurre, dans l’abricot

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Soisic Belin a force de faire du journalisme d’investissement, va bientôt pouvoir faire du Hula Hoop avec son rectum

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Je pense que dans le milieu du showbiz jet-set peoples Journalistes politiques il y a beaucoup de choses et personnes malsaines
Elle, Emma Becker, le petit compagnon de l’autre Bruni , ou l’histoire glauque du groupe Die Antwoord ou de la famille Berry....
Le monde de l’image, de l’écran mainstream est très sale
Rappelons nous de Roger Hanin ,Gabriel Matzneff, Duhamel, Weinstein, Jimmy Savile, Claude François, Maurice Gutman....
C’est un milieu sordide

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