Le PS organisa le samedi 5 octobre au Gymnase Japy à Paris, de 14h à 18h30, un grand Forum « La République face aux extrémismes »
Alors que ces derniers mois ont vu émerger un bloc ultra-réactionnaire et anti-républicain, ce Forum sera l’occasion d’échanger sur les dangers qui rongent notre République : face à l’individualisme, au communautarisme, aux discriminations, comment rendre la République plus fraternelle ? Il s’agira également de lancer la bataille contre l’extrême droite et la droite extrémisée qui ruinent notre pacte républicain. Alors que l’extrême droite s’attaque aux valeurs de la République – liberté, égalité, fraternité, laïcité – et qu’une partie de la droite cède aux sirènes du Front national, l’heure de la riposte déterminée a sonné.
Prendront la parole Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti socialiste, Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, David Assouline, Porte-parole du Parti socialiste, Sarah Proust, secrétaire nationale à la Riposte.
Et aussi des intellectuel-le-s et des journalistes, des responsables associatifs et syndicaux, et des élu-e-s comme : Zeev Sternhell (historien, auteur de « Ni droite ni gauche : l’idéologie fasciste en France » Ed. Fayard), Gaël Brustier (politologue, auteur de « La guerre culturelle aura bien lieu » Ed. Mille et une nuits), Sandor Szoke (animateur en Hongrie du Mouvement pour le rétablissement de la République), Caroline Fourest (auteure de « Marine Le Pen » Ed. Grasset), Claude Askolovitch (auteur de « Nos mal-aimés : ces musulmans dont la France ne veut pas » Ed. Grasset), Renaud Dély (auteur de « La Droite brune » Ed. Flammarion), Pascal Debay, représentant de la CGT, Thierry Cadart, représentant de la CFDT, Naïma Charai (présidente de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances ACSE), Cindy Leoni (présidente de SOS Racisme), Alain Degois (“Papy”, Déclic Théâtre, Trappes), Elsa Di Méo, (conseillère régionale en PACA, candidate à la mairie de Fréjus).
(NDLR : le néologisme auteure propre à la novlangue gauchiste est dans le texte d’origine du PS)
Introduction par Harlem Désir dont nos lecteurs goûteront les 40 premières secondes et le joli point Godwin qui donnera le ton à la suite de son intervention, bardée de clichés, mais aussi aux différentes interventions de la journée.
Intervention pénible sur le fond comme sur la forme de David Assouline, perturbée dans les premières minutes par un militant nationaliste. Reprenant la célèbre phrase de François Mitterrand, David Assouline nous assènera autoritairement : "le nationalisme c’est la guerre". N’en jetez plus !