Les quartiers "défavorisés" sont les zones urbaines les plus favorisées par les investissements de l’Etat. Je m’étonne souvent en passant à Mulhouse (les Coteaux) ou Strasbourg de voir certains quartiers jugés "sensibles" posséder de grand parc, une proximité avec des zones industrielles, universités, lycées, centres culturels, cinémas de quartier, centre sportif, transports directe vers le centre ville, etc... Regardons les choses en face ; le problème de ces quartiers ne sont pas les installations, mais les gens qui y vivent. Si la population n’était pas la même, ce serait des lieux très agréable à vivre.
Pour exemple dans un des parcs dont je parle (Parc de la Bergerie à Strasbourg), on trouve naturellement les bancs, tables, poubelles anciennement neuf et désormais à moitié calcinés, tagés et des déchêts à peu prêt dans tout les coins. L’endroit était encore il n’y a pas si longtemps vraiment jolie. Au milieu du boulevard Hochfelden, il long couloir de fleurs s’étendait autrefois. Aujourd’hui des traces de scooter on fait place à des bosses et des zones boueuse pleines de flaques et de déchêts. De petites lumières dans le sol avait été installés prêt des immeubles ; elles sont à l’heure actuelle pour la moitié détruites. Je ne vous parle pas des marques au sol révélant d’ancien feu sur la chaussée.
J’éprouve donc une colère naturelle et justifiée lorsque j’entends les habitants pleurer qu’on ne les prend pas assez en compte et qu’on ne fait rien pour eu.
Cela ne s’arrête pas là, les avantages des quartiers ne sont pas que matériels. Il faut savoir que l’inscription des enfants de ces "quartiers sensible" pour une activité sportive extra-scolaire est dans certaines villes gratuite (payer par le contribuable). Je travail dans une petite entreprise localisée juste à côté d’une banlieue dans un bâtiment créée par la ville. Les loyers y sont moins chères, mais si une entreprise veut louer des locaux, elle doit s’engager à embaucher une personne du quartiers à partir de 3 employés. Naturellement malgré les recherches de ma boîtes nous n’avons trouver encore personne.
Lorsque toutes les aides vont aux mêmes et que malgré tout ceux-ci continuent de se plaindre et de tout brûler, il faut pas s’étonner que la réconciliation soit difficile.
Voilà voilà, maintenant je vous laisse dire que c’est du "fdesouche" que d’écrire ce genre de choses, malgré tout parfaitement vraies.
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