Philippe Val a-t-il voulu donner un argument supplémentaire à mon livre « Les intellectuels faussaires » ? On pourrait le croire puisqu’il a confié pour la grille d’été sur France Inter, une chronique quotidienne sur la géopolitique à Frédéric Encel.
S’il avait attribué une chronique quotidienne à un journaliste du Monde diplomatique, cela aurait déclenché un tollé au nom de la subjectivité de la personne choisie.
Philippe Val n’aurait pas pu confier non plus ce type de chronique, par exemple, à Gilles William Goldnadel qui est le président de « France - Israël ». Là encore il aurait essuyé le reproche de parti pris. Goldnadel affiche franchement ses convictions. Frédéric Encel cherche à masquer ses engagements communautaires sous des apparences universitaires. C’est le propre même de la stratégie d’influence.
Alexandre Adler a mis sa notoriété, acquise depuis longtemps, au service de la cause d’Israël. C’est la défense d’Israël, quoi que fasse son gouvernement, qui a assuré la promotion de Frédéric Encel.
Lire la suite de l’article : pascalbonifaceaffairesstrategiques.blogs.nouvelobs.com