La relance keynésienne est une fumisterie et il est temps de s’en rendre compte.

Qu’est-ce que Keynes vient faire là-dedans ? Vous faites parti des gens qui veulent nous faire croire qu’on est toujours dans un système keynésien, alors qu’on l’a abandonné depuis au moins 30 ans !

Keynes est le fondateur de la macroéconomie. Ses théories ont donné un cadre législatif au concept de l’économie internationale qui en manquait au début du XXè siècle. Après la Seconde Guerre Mondiale, ses travaux sont utilisés pour mettre en oeuvre l’Etat Providence. Selon ses théories, la macroéconomie moderne ne peut pas s’équilibrer automatiquement, ce qui justifie le recours aux politiques Etats. Pour Keynes il ne peut pas y avoir d’économie sans réglementation des Etats Nations.

Keynes était un anglais qui défendait les idées proches des Travaillistes (centre gauche), alors que Friedman (inventeur de l’ultralibéralisme) est un américain dont les théories sur la suppression des Etats Nations et la liberté totale des marchés ont été mise en oeuvre dans les années 80.

On est aujourd’hui dans un système Friedmanien ! Alors bien sûr, les adeptes de Friedman ne peuvent pas incriminer leur idole, ce serait reconnaître une arnaque et il est bien plus confortable d’en rejeter la faute à son pire ennemi que fut Keynes. C’est d’autan plus facile qu’il est mort et ne peut donc plus répondre à ces accusateurs.

Il est flagrant que depuis 30 ans, l’ensemble des grandes écoles qui forment les futurs experts en économie, enseignent que Keynes fut un escroc et que seules les théories de Friedman doivent être développées. En même temps ces grandes écoles prestigieuses sont financées par des friedmaniens et en premier lieu la plus prisée d’entre elles, l’Ecole de Chicago, créée par un Rockefeller et de laquelle sont sortis des diplômés tels que Mme Lagarde, DSK (qui y enseigne aujourd’hui) ou encore des gens comme Dimon (PdG de JP Morgan) et autres grands conseillers de chefs d’Etat. Alain Minc, Jacques Attali et leurs amis sont les plus fervents adeptes des théories de Friedman. Des ultras libéraux qui militent pour l’anéantissement des Etats souverains et prônent une gouvernance mondiale dirigée par des affairistes.

Keynes n’a donc rien à voir avec le merdier global. Les fumiers sont les friedmaniens qui en plus n’assument pas leurs conneries. Les friedmaniens sont des lâches et des menteurs !

@nanabel D’accord avec toi sur la confusion friedman/Keynes,nous sommes,surtout depuis Reagan,dans un système ultra-libéral à la friedman,les politiques d’inspirations keynésiennes furent notamment le new-deal et l’état providence d’après-guerre ;en fait je crois que la confusion vient du rôle de la monnaie(je l’ai notée chez Soral d’ailleurs):Keynes prônait des investissements d’état pour relancer l’économie(new-deal donc,grands travaux etc...) et ce même si l’état doit se mettre temporairement en déficit(en effet ces investissements,injection de monnaie de la banque centrale, vont créer des emplois-les salaires gonflent la consommation-la production repart) ;c’est à ce niveau(je pense) que se fait la confusion avec les mondialo-kabalistes,on fait dire à Keynes qu’il faut donc fabriquer de la fausse monnaie,or ce n’est pas le cas,Keynes n’a jamais dit de faire de la "FED",imprimer et imprimer des faux dollars(d’après ce que je me souviens du programme de terminal B),chez lui ces billets servent des investissements concrets...j’aimerais beaucoup avoir ton avis et d’autres camarades,car c’est un point important,peut-être que Soral aussi fait une petite confusion sur ce coup-là,cela mérite qu’on s’y attarde je pense(d’autant que Keynes tenait bien la route théoriquement,alors que les "Chicago boys",pfff,adolescent tu comprends déjà que c’est une arnaque)

Y’a rien à attendre des politiques. Tu veux t’emanciper du Système ? Cabane à toi sans crédit, éolienne, potager, poules, lapins, source d’eau etc (la bonne vieille méthode du bon vieux Piero ;). Le reste j’y crois moyennement, d’autant que les masses sont globalement des veaux. Faut s’organiser soi et les siens pour souffrir le moins possible du truc et en être le moins dépendant, après libres aux autres de faire leur choix (pour ceux qui sont encore en mesure de le faire, je sais bien que pour la plupart ce n’est même déjà plus possible).

Merci pour tes conseils ptipère.

En fait, tout ça je le sais très bien, mais je n’ai ni les moyens, ni la possibilité de migrer à la campagne avant un moment. Et même si ce n’est pas l’envie qui me manque, je sais que comme beaucoup ici je me suis cloitré dans un système que j’ai appris à comprendre ... trop tard.

Mon message avait pour but de lever cette question qui me tracasse depuis un moment, c’est à dire la question de la fameuse loi de 73. Chose qui démarquait le FN durant la campagne et qui semble avoir disparu au profit d’allusion plutôt vaseuse (Phillipot dit quelque chose comme : "tout le monde sait que ce sont les banques derrière tout ça").

Je me demande juste pourquoi avoir utilisé cet argument à un moment où ça aurait pu leur causer du tord. Alors qu’aujourd’hui, les échéances majeures étant passées, ça serait bien de travailler le peuple au corps (enfin au cerveau). Mais depuis lors rien sur cette question épineuse mais essentielle. (vu que notre situation actuelle en découle directement).

Disons que je suis passé du "ne croit plus en la politique, mais éventuellement un changement par le front" à "ne croit plus en la politique, ni au front qui semble s’adapter au jeu des médias corrompus et qui endosse le rôle qu’on lui sert sur un plateau (cf. la question des musulmans en France")".

Quand je vois l’enthousiasme de certains message, je me demande :

1) Est-ce des sympathisants FN plus qu’E&R qui viennent saluer leur leader par un message de réconfort ?
2) Est-ce des jeunes militants nouveaux venus qui ont encore la foi en ces fumiers de politiciens (FN compris) ?
3) Est-ce que les militants ou sympathisants E&R aurait confondu le FN avec l’objectif premier du projet d’Alain ?

Bref. Beaucoup de questions, et surtout peu de réponse.

Pourquoi ? Parce que si tu critique la loi de 73, tu critique Rothschild et si tu critiques Rothschild, tu es FORCEMENT un antisémite... ca va aussi loin que ca.. Je préfère encore Mélanchon qui fait des efforts sur Chavez , même Dupont-aignan , ils l’ont emmerdé dès qu’il s’est attaqué à la lio pompidou rotschild.. limite si il s’est pas fait traiter de nazi, ca devient vraiment grave.. j’arrive pas à comprendre qu’ils réagissent comme ca, on doit vraiment être haîs

"idéologie islamophobe contingentée par le système..." ok, mais le malheur c’est que les petits pions-soldats de cette idéologie (je parle des petits c... musulmans) ne manquent pas, il n’y a qu’à piocher ! sinon, ça tomberait de soi-même, on n’aurait rien à se mettre sous la dent !
Les musulmans intégrés ne bronchent pas, ils ont peur, les autres font les c..., alors c’est du gâteau à manipuler ça ! et c’est du réel pour les français de souche ! c’est pas de l’idéologie ... même s’il y a ça derrière ..Et puis, c’est très facile de dire ça si on ne le vit pas de près, ou si, dans le fond de son âme, ça nous est bien égal de voir une église transformée en mosquée ... alors évidemment, dans ce cas-là, il n’y a pas grand-chose qui nous différencie des j... apatrides et mondialistes ...

Je suis d’accord et ne suis pas bisounours vis à vis de l’Islam... Simplement je n’ai pas peur d’eux car à terme ils se font (les musulmans) autant bais** que tout Occidental et par la même minorité agissante... Délicat surtt pr moi, Français "de souche" qui ai l’espoir que tt ce que nous avons fait survivera... Aujourd’hui on doit à tt prix garder la tête froide pr garder un certain honneur dans ce combat... A qui comprendra...

exactement !!

Qui vivra verra...retrouvons d’abord notre souveraineté.

@Dédé75
Oui, mais si vous avez une souveraineté et de la misère, elle ne durera pas longtemps.
Donc effectivement : 1ère étape : retrouver une souveraineté, mais 2ème à avoir de suite en tête, inventer la société de demain moins consumériste et où les citoyens s’épanouissent dans des plaisirs plus durables (pas écolos mais durables). La famille est aussi un niveau d’organisation qui favorise cette durabilité, ce que les écolos sous influence trotskiste nient.