En un simple coup de knout, Poutine a vengé les Français qui souffrent du macronisme, cette maladie dégénérescente qui affaiblit le pays depuis 5 ans. Vlad a redressé son pays en 20 ans, Manu a bousillé le sien en 5 ans seulement. On monte par l’escalier, on redescend par l’ascenseur. Entropie, j’écris ton nom...

Beaucoup d’internautes ont cru que le coup de la table de 50 mètres était un fake : mais non, Vlad a bien renvoyé Manu dans ses 22. Il a voulu le soumettre à un test PCR et le Petit Dictateur a refusé : pas de pénétration dans mes royales narines. Du côté du Château, on a planqué l’humiliation sous le tapis en trouvant un argument très KGB :

« On savait très bien que ça voulait dire pas de poignée de main et cette longue table. Mais on ne pouvait pas accepter qu’ils récupèrent l’ADN du Président... »

Finalement, cette fin de semaine se présente très bien, grâce à ce petit coup de fouet russe au moral franco-national. Ça nous a mis en appétit, voyez-vous. On se dit que tout n’est pas foutu, un peu à la de Gaulle, qui en juin 40 a émis l’hypothèse que des forces supérieures abattraient l’aigle nazi... Il ne faut jamais désespérer, sinon autant se finir à la Bancel ou à la Bourla, ces nouveaux noms du Rivotril.

Des convois remontent de toute la France vers Paris, on verra si les loups y entrent, c’est peut-être un avant-goût des chars russes, les T-14, ces nouveaux monstres. C’est pas qu’on a envie de se faire à nouveau envahir, mais si quelqu’un peut faire le boulot de nettoyage et rentrer ensuite chez lui, why not ?

À propos de Russie et de défense, deux illustrations sont tombées à pic, cette semaine :

Ça change des grognards de Napoléon. La presse antilibertaire s’est ruée sur l’occasion de mettre une fessée à notre jeune MK-Ultra qui détruit les familles parce qu’il ne sait pas ce que c’est. Au tour des Polonais d’humilier non pas la France, mais Macron :

Le monde entier se fout de sa gueule, et lui s’accroche au pouvoir. On le comprend, sans ça, le psychopathe est perdu. S’il ne peut pas emmerder les autres, sa vie n’a plus de sens. Cependant, sans être psychopathes, du côté des soi-disant opposants, c’est pas mieux. On fait le tour des dingos. Honneur aux dames, enfin, à ce qui y ressemble.

Ensuite, on passe à l’extrême opposé, c’est-à-dire Babar. Qui pour une fois n’est pas en train de bâfrer sur notre dos.

Ah, c’est toujours un bonheur de relayer la dernière vallserie, le type qui est passé de l’autre côté de l’entendement. Sérieux, le gars n’a plus toute sa tête. Il croit encore faire partie du paysage politique, alors qu’il est au fond du trou. Et on ne vous dit pas lequel, car ici, c’est pas écrit Enthoven.

On va la compter dans les politiques, car Rachel Khan, après avoir joué à la philosophe antiraciste, est entrée dans l’arène. À ses risques et périls.

Dans le même genre erreur d’aiguillage dans les schèmes spatio-temporels, on a la meuf à Blanquer, Anne Cabana, qui a dû tomber de trottinette dans Saccage-Paris. Ou alors Jean-Mich y est allé trop fort question secousses, on sait pas :

Philippe Val, Zola... Écrivain pour enfants, à la rigueur... On ne regrette pas d’avoir vécu jusqu’en février 2022 pour entendre ça. C’est insolite, imprévisible, nouveau, en un mot. On va terminer ce petit tour en Enfer avec la famille Fafa, qui fait fort dans le genre... culotté. Mais très culotté, comme ces djihadistes qui se font péter avec plusieurs slips. Rappel avec « l’accident » de Toulouse du 21 septembre 2001 :

Pour accréditer la piste terroriste, l’ancien juge d’instruction se fonde sur le cas d’un ancien intérimaire, Hassan Jendoubi, décédé dans l’explosion et dont le corps a été retrouvé sur le site portant plusieurs couches de sous-vêtements, ce qui renvoie selon Jean-Louis Bruguière à « des pratiques suivies par des islamistes radicaux ». En 2001, une note des RG avait fait état de liens entre Jandoubi et des islamistes. (Le Figaro))

Jolie transition vers les Fabius, non ?

Heureusement, loin de tous ces vautours surexposés qui se repaissent de notre France et de tous ces imbéciles subventionnés, comme si l’intelligence des choses était devenue hors-la-loi, des gens pensent, et même des jeunes.