Chez E&R, on a droit à UN jour (24 heures) de vacances par an. Autant dire que quand les Chinois nous envahiront, ça ne changera pas grand-chose pour nous. On a donc décidé, d’un commun accord avec le stagiaire martyr Samuel (toujours stagiaire après 7 ans de services moyens et relativement déloyaux, ce qui l’a empêché de monter en grade et de devenir simple rédacteur), de vous servir un En bref encore plus déstructuré que d’habitude.

 

Macron se promène dans la France en ruines...

 

Pendant ce temps, comme on n’a que 24 heures (un jour), on ne peut pas non plus partir trop loin. On a donc choisi de faire une marche de 25 km à pied avec un sac à dos rempli de pierres (pas précieuses), histoire de garder la forme. Car là est le secret des surhommes d’E&R : l’entretien physique de haut niveau couplé avec une construction morale infaillible et un accroissement conceptuel de tous les instants.

Il n’est pas rare de rencontrer un militant E&R à 2500 mètres avec un livre de Pierre de Brague dans la main. Car après la croissance verticale, qui s’arrête vers 18 ans, vient la croissance horizontale, celle de la conscience, qui n’a pas de limites. Beaucoup croient être grands à 18 ans, alors qu’on peut encore grandir à 81 ans. Assez écrit, place aux images.

 

 

Le 1er juin 1944, l’aviation anglo-saxonne écrase Rouen sous les bombes (en fait du 30 mai au 5 juin). Une tour de la cathédrale s’enflamme, la cloche « Jeanne d’Arc » de 20 tonnes se met à fondre. Mais la cathédrale tient. Trois-quarts de siècle plus tard, un connard de Rwandais (et pas Rouennais) que personne n’a sonné fout le feu à la cathédrale non pas de Rouen, mais de Nantes. Quand on connaît l’objectif des Américains d’Africom – chasser les Français du continent noir – on se dit tiens, y a un fil rouge.

Dans le même ordre d’idées, où se mêlent stratégie de l’Empire et chaos français, une nouvelle nous a alertés : toujours à Rouen, le 14 août à 2 heures du matin, 7 policiers se sont fait agresser par 20 racailles à la sortie d’un karaoké. C’est vraiment la France à l’envers. Des racailles qui tabassent des policiers ! Mais on a vu aussi, pendant 18 mois, des policiers tabasser des Français qui cotisaient pour que... les policiers soient payés. Allez comprendre.

 

Delfraissy, c’est le mec qui nous donne des conseils santé...

 

Depuis cette histoire de « Covid », qui est le nom de code donné par le (futur) gouvernement mondial à l’ingénierie actuelle de soumission des nations par la destruction du moral des peuples, tout devient surréaliste. Les Français n’ont plus le droit de se balader sans masque, pendant que des migrants, payés une blinde par rapport à ce qu’ils foutent – c’est-à-dire rien – débarquent en masse chez nous.

Tout devient incohérent, surréaliste, fou. Tenez, le PSG et l’OL se retrouvent en demi-finale de la Ligue des champions, après avoir battu l’Atalanta Bergame et Manchester City.

 

Neymar et Mbappé remercient le Covid (c’est-à-dire le gouvernement mondial d’Attali)

 

Les joueurs de Manchester City maudissent le Covid (c’est-à-dire le gouvernement Attali)

 

Et ça tombe bien qu’on parle d’Attali parce qu’on va parler de lui. Le vieux mage qui fait rire tout le Net conscientisé a encore fait un tweet sous lui, qu’on vous ressert avec délectation.

 

 

Jacques-a-dit était déjà un peu barré, là on sent qu’il a percuté une soucoupe volante à sa fenêtre. Les Martiens n’ont aucun respect pour les maîtres de ce monde, c’est bien ce qui nous les rend sympathiques. Vivement qu’ils débarquent, eux ou les Chinois, pour remettre la France à l’endroit, si on n’arrive pas à le faire nous-mêmes.

Mais, des fois, il y a des coups de pouce du destin : on se bat, on se bat, on n’en voit pas le bout et soudain, Dieu met un coup de boule à l’ennemi (comme Zidane en 2006, mais là ça s’est mal terminé pour nous).

Allez, image suivante, c’est le diaporama du 16 août.

 

N’écoutant que son courage, le chevalier Macron fonce dans une barque de 700 mineurs africains de 18 à 27 ans qui viennent plomber notre Sécu !

 

Pendant que l’oligarchie, planquée derrière le Conseil scientifique et la Haute Autorité sanitaire ou un truc dans le genre Arnaque régionale de santé (ARS), tous ces parasites administratifs qui sont là pour nous plomber et nous faire les poches, essaye de nous étouffer sous des masques qui ne servent à rien d’autre, notre Président foufou fait du jet-ski. Si au moins il fonçait comme un dingue sur des barques de migrants pour les couper en deux, ça pourrait servir à quelque chose, mais là on ne voit pas trop l’intérêt pour la France.

 

 

Sinon, apparemment, et on a l’œil pour ce genre de trucs (les seins, les fesses des femmes, on dit des femmes parce qu’on n’inclut pas les seins et fesses des trans qui ne sont pas naturels), la Brigitte s’est fait scotcher une paire d’obus de 150. On n’a pas été farfouiller dans nos archives « Nichons », mais à vue de nez, elle faisait pas du 130 double G à son arrivée dans la Maison France le 8 ou 9 mai 2017.

 

 

Vu qu’on est dans les people, on a découpé une photo assez tragique de Paris Match, qu’on a agrandie, et dessus on a découvert, au milieu d’un quatuor très Vérité si je mens, un Franck Dubosc qui ressemblait plus à un octogénaire américain confiné dans une résidence privée à Miami qu’à un acteur français populaire. Le Covid, encore une fois, est passé par là. Il y en a qui ont pris 10 ans, mais ferme, et sur la gueule.

C’est peut-être le Karma (rien à voir avec le Sutra, qui est un truc cochon), un concept qui nous travaille en ce moment. Dubosc avait été très désobligeant avec les Gilets jaunes. Des hommes de l’ombre lui ont peut-être rappelé ses « obligations » médiatiques après l’avoir entraîné à parrainer une Tsedaka... Un autre qui ne sera pas oublié, question mépris du peuple, c’est Claude Malhuret, le comparse du transinhumaniste Laurent Alexandre :

 

 

Eh ouais, les gars (là on s’adresse aux collabos d’aujourd’hui) : la France de 42, c’est pas celle de 44, et réciproquement. L’Histoire nous a habitués à des sautes d’humeur, des retournements, des volte-face...

 

Samuel ! Le couscous, il est où ? Et après tu te plains de rester stagiaire !

 

Mais nous, ce qui nous intéresse, c’est que la France reste la France, ce qui ne l’empêche pas d’évoluer. Il y a des choses qu’il faut conserver, chez nous, qu’il faut défendre : la bonne chère (contre le fast-food US), la liberté de causer (contre la loi Avia, c’est-à-dire les directives haineuses du CRIF), la culture franchouillarde (contre le cinéma du CNC), l’humour délié (contre la niaiserie et la trouille ambiantes), la tolérance chrétienne (contre l’intolérance sioniste), la beauté des paysages (contre ces ventilos merdiques géants que sont les éoliennes), le permis de draguer (contre l’adjudante Schiappa)...

 

Sur cette image, on voit le Bolchevisme mais sans masque.

 

Le masque, c’est la fin de la liberté d’expression, non, même pas, attendez : c’est la fin de la relation sociale, de la parole échangée, du vivre-ensemble. Et tous ces maires de gauche donneurs de leçons depuis des décennies sur le « vivre-ensemble » qui se la jouent petits dictateurs en affichant leurs ordres insanes en langage inclusif... Bande de tarés !

 

 

Voici un dessin que les Dessins de la semaine n’auront pas ! On ne vous fait pas la traduction, ça nous a pas l’air très compliqué, et ça illustre bien le délire du moment, comme si la Terre avait chopé la fièvre à cause d’une bande d’escrocs de haut vol qui ont fait croire à tout le monde qu’une superpandémie était à l’œuvre. Or, la pandémie, c’est eux !

 

 

Heureusement, face à ce chaos, on dispose d’un allié au gouvernement, le fils spirituel (?) de Sarkozy. Et là où passe Darmanin, le chaos ne repasse plus ! Les racailles rentrent sous terre, les Français redeviennent un peuple heureux.

 

 

La photo la plus dingue sur la dinguerie du moment c’est peut-être celle-ci : un concert avec une foule découpée en... clusters !

 

 

On va finir sur une, non, des notes positives, car on n’est pas là pour chialer mais pour se battre, et l’humour, ça vous remet les choses à l’envers à l’endroit. Allez hop, après le diaporama, le twittorama. Et au diable l’éditorialisation !