Non mais sérieux ! ils font vraiment tout pour déclencher une guerre contre la Russie . C'est moi qui délire ? pic.twitter.com/t4Mu6Ekbb6
— SIMON STRUEUX (30) (=) (@MacronSiTuSavai) May 5, 2022
Dirigée par la folle Ursula, la Commission européenne fait entrer l’Europe dans une logique de guerre. Plus rien n’arrête cette poignée de hiérarques corrompus (Leyen, Scholz, Michel) qui appliquent les directives de l’Empire sans jamais consulter les peuples européens.
Orbán emmerde Leyen
L’UE montre son vrai visage, qui est celui d’une triste colonie américaine où les libertés se réduisent pour le plus grand plaisir de l’hyperclasse. Au milieu des décisions impopulaires (voir les conséquences des sanctions antirusses chez nous), la Hongrie fait figure de résistante à l’ordre euromondialiste. Orbán vient de refuser le 5e paquet de sanctions (il a accepté les quatre premiers) contre la Russie. Car la Russie fournit 65 % du pétrole nécessaire à l’économie hongroise. Cette dernière mesure, si elle était appliquée, mettrait à genoux la Hongrie.
« La présidente de la Commission a volontairement ou non attaqué l’unité européenne. J’ai dit oui aux cinq premiers paquets de sanctions, mais nous avons clairement signifié dès le début qu’il y avait une ligne rouge : l’embargo sur l’énergie. Ils ont franchi cette ligne (...), il y a un moment où il faut dire stop. »
Du coup, l’unanimité étant nécessaire pour appliquer la mesure, « une interdiction de tout le pétrole russe, brut et raffiné, transporté par mer et par oléoduc », tout est remis en question. Ou alors Orbán cherche à obtenir un avantage dans la négociation qui va s’ouvrir.
En France, on est à la traîne de l’Union qui est à la traîne de l’Empire. C’est la double peine, qu’incarne bien la marionnette Castaner.
Embargo sur le pétrole russe ➡️ “La Hongrie ou la Slovaquie sont totalement dépendantes de la Russie pour leur alimentation en pétrole", rappelle Christophe Castaner, pour qui il faut “marquer la solidarité” européenne avec ces pays. pic.twitter.com/Q3qto7Fjmw
— franceinfo (@franceinfo) May 9, 2022
Dernière chose, qui a son importance symbolique, soulignée par BFM TV :
Viktor Orbán a également protesté contre l’inclusion dans le train de sanctions du chef de l’Église orthodoxe russe, le patriarche Kirill, soutien affiché à l’offensive. « Nous ne permettrons pas aux dirigeants d’églises d’être mis sur une liste de sanctions. »
La chaîne chinoise internationale en français s’est fait un plaisir de relayer le blocage hongrois.