"Nous sommes les plus ardents défenseurs du traité de Lisbonne", tonne un gras député PS, crépu et vérolé comme trente-deux Noriega, crachant sur le peuple irlandais qu’il méprise à l’instar des ces couillons d’électeurs de la Nièvre qui l’ont élu.
Il n’a fait que claironner la profession de foi de ces plus ardents serviteurs de la Finance trans-nationale, rassemblés dans cette écurie d’Augias des ambitions personnelles : l’université d’été du PS. Défenseurs zélés du Capital, de son état major organisé et concentré, l’Union dite par antiphrase "européenne", la source de toutes les directives meurtrières pour les nations et les peuples d’Europe.
"Il faut que les irlandais revotent !", martèle Carneiro Gonzales du PSOE (PS espagnol).
Et ce laquais de développer : "En France entre 2005 et 2008, il y a eu une élection politique et c’est pour ça que le traité de Lisbonne a été ratifié".
C’est-à-dire : Merci Sarkozy ! d’avoir annulé le NON français. D’avoir permis cette revanche politique de la Réaction oligarchique, après sa défaite historique du NON français.
N’oublions jamais ce déni de démocratie que fut la ratification par la racaille du Parlement (parle et ment), du traité rejeté par le peuple, et qu’elle le fut grâce aux voix de presque tous les parlementaires socialistes, fripouille parmi la fripouille, racaille au carré, quintessence de la pourriture parlementaire.
Nuls autres ne peuvent prétendre au degré de mépris dû aux "socialistes", bien qu’en ces temps faisandés, où les prétendants se pressant en foule, il faille être économe de son mépris à cause du grand nombre de nécessiteux.
Dans le questionnaire de Proust : "Quel est le caractère historique que vous méprisez le plus ?" -"La social-démocratie !" devrait être la réponse unanime et spontanée.
Et ce n’est pas la clique des prétendus opposant les Mélanchon, Dolez et autre Emmanuelli, avec sa gueule bronzée, qui pourront donner le change (comment se fait-il, comment est-il possible, par quel aveuglement, par quelle espèce de renoncement, de sectarisme gauchard, les solides paysans landais votent-ils continuement pour Emmanuelli ?).
Leur fausse opposition aux positions obscènes de l’indescriptible Hollande, ne sert qu’à canaliser les voix des quelques rares idiots utiles qui se disent encore sincèrement socialistes et croient ou font semblant de croire qu’ils appartiennent encore au parti de Jaurés.
Ces forts esprits faibles, clament, vox clementii in deserto : "les Irlandais ne doivent pas revoter", "Rupture avec le suivisme à l’égard du gouvernement américain".
N’ont ils toujours pas compris depuis le règne de la Vieille Mitte prostatique, qu’ils sont dans le parti des sicaires de l’impérialisme, de l’OTAN, de l’U.E ? Est-ce possible ?
C’est cette impuissante contestation de la base que les Mélanchon-Dolez sont chargés de canaliser.
Pour mieux la dévoyer et la rentrer dans le giron adipeux de Hollande.
Qui, dans son discours de clôture de cette grossière farce a sifflé la fin de la récré et a rappelé aux "naïfs" où ils sont, la vulgate du parti.
D’abord bien sûr, à tout seigneur tout honneur, il a légitimé la guerre en Afghanistan au nom de la "lutte contre le terrorisme" et a criaillé de sa voix de goret castré pour exiger "un renforcement des effectifs, des moyens de renseignement..."
(Vas-y toi même te faire trouer la peau pour les narco-trafiquants !)
Jean-Paul Sauron (oui Sauron ! comme dans le Seigneur des Anneaux) membre du Conseil d’État, lui aussi prodigue de la vie des des jeunes soldats français, a cyniquement rappelé : "On y est depuis Jospin....il faut bien s’interesser au pétrole !"
Les mêmes, qui protestent contre cette politique compradore, en bonne logique vocifèrent également contre la politique antisociale défendue au PS :
"Pourquoi notre parti ne défend pas les retraites des travailleurs ?"
"Que fait le PS contre Dati qui supprime 63 conseils des prud’hommes ?" portant un rude coup au droit du travail.
Droit pour lequel un autre s’insurge : "L’Europe sert de point d’appui pour détricoter le droit du travail ! C’est inadmissible !"
Inadmissible oui. Mais alors pourquoi restez vous dans ce parti ?
Qui osera encore parler d’illusions ? Qui peut encore croire dans cette farce Droite/Gauche, ce janus-bifron de la dictature de Bruxelles, de la dictature la plus sordide et la plus implacable du capital financier ?
Et dont l’internationale "socialiste" reste un des piliers le plus solide, le meilleur champion.
Qui peut encore être abusé par cette foire d’empoigne des ambitions personnelles des Dray, Royal, Delanoé, Moscovici, Aubry, Fabius, dont le seul fait d’égrener la liste me soulève le coeur.
Les partis de la droite au moins sont les représentants naturels et en quelque sorte légitimes des nantis.
Mais ces socialistes, hypocrites, lâches, ces nullités crasses, ont été hissés là, dans les ors de la république, par le vote du peuple, par la volonté de changement des pauvres, dont ils ont foulé au pied les aspirations et le mandat. Ce ne sont que des parvenus, les domestiques à qui leur maître impérialiste a confié les clefs des cuisines et dépendances du château.
Qui se sont poussés et leur ont laissé un peu de place à la table du banquet des puissants.
Alors ils se chamaillent, sifflent et crachent, se disputant les meilleurs morceaux, comme des rats autour d’une charogne.
Félix Niesche pour E&R
Il n’a fait que claironner la profession de foi de ces plus ardents serviteurs de la Finance trans-nationale, rassemblés dans cette écurie d’Augias des ambitions personnelles : l’université d’été du PS. Défenseurs zélés du Capital, de son état major organisé et concentré, l’Union dite par antiphrase "européenne", la source de toutes les directives meurtrières pour les nations et les peuples d’Europe.
"Il faut que les irlandais revotent !", martèle Carneiro Gonzales du PSOE (PS espagnol).
Et ce laquais de développer : "En France entre 2005 et 2008, il y a eu une élection politique et c’est pour ça que le traité de Lisbonne a été ratifié".
C’est-à-dire : Merci Sarkozy ! d’avoir annulé le NON français. D’avoir permis cette revanche politique de la Réaction oligarchique, après sa défaite historique du NON français.
N’oublions jamais ce déni de démocratie que fut la ratification par la racaille du Parlement (parle et ment), du traité rejeté par le peuple, et qu’elle le fut grâce aux voix de presque tous les parlementaires socialistes, fripouille parmi la fripouille, racaille au carré, quintessence de la pourriture parlementaire.
Nuls autres ne peuvent prétendre au degré de mépris dû aux "socialistes", bien qu’en ces temps faisandés, où les prétendants se pressant en foule, il faille être économe de son mépris à cause du grand nombre de nécessiteux.
Dans le questionnaire de Proust : "Quel est le caractère historique que vous méprisez le plus ?" -"La social-démocratie !" devrait être la réponse unanime et spontanée.
Et ce n’est pas la clique des prétendus opposant les Mélanchon, Dolez et autre Emmanuelli, avec sa gueule bronzée, qui pourront donner le change (comment se fait-il, comment est-il possible, par quel aveuglement, par quelle espèce de renoncement, de sectarisme gauchard, les solides paysans landais votent-ils continuement pour Emmanuelli ?).
Leur fausse opposition aux positions obscènes de l’indescriptible Hollande, ne sert qu’à canaliser les voix des quelques rares idiots utiles qui se disent encore sincèrement socialistes et croient ou font semblant de croire qu’ils appartiennent encore au parti de Jaurés.
Ces forts esprits faibles, clament, vox clementii in deserto : "les Irlandais ne doivent pas revoter", "Rupture avec le suivisme à l’égard du gouvernement américain".
N’ont ils toujours pas compris depuis le règne de la Vieille Mitte prostatique, qu’ils sont dans le parti des sicaires de l’impérialisme, de l’OTAN, de l’U.E ? Est-ce possible ?
C’est cette impuissante contestation de la base que les Mélanchon-Dolez sont chargés de canaliser.
Pour mieux la dévoyer et la rentrer dans le giron adipeux de Hollande.
Qui, dans son discours de clôture de cette grossière farce a sifflé la fin de la récré et a rappelé aux "naïfs" où ils sont, la vulgate du parti.
D’abord bien sûr, à tout seigneur tout honneur, il a légitimé la guerre en Afghanistan au nom de la "lutte contre le terrorisme" et a criaillé de sa voix de goret castré pour exiger "un renforcement des effectifs, des moyens de renseignement..."
(Vas-y toi même te faire trouer la peau pour les narco-trafiquants !)
Jean-Paul Sauron (oui Sauron ! comme dans le Seigneur des Anneaux) membre du Conseil d’État, lui aussi prodigue de la vie des des jeunes soldats français, a cyniquement rappelé : "On y est depuis Jospin....il faut bien s’interesser au pétrole !"
Les mêmes, qui protestent contre cette politique compradore, en bonne logique vocifèrent également contre la politique antisociale défendue au PS :
"Pourquoi notre parti ne défend pas les retraites des travailleurs ?"
"Que fait le PS contre Dati qui supprime 63 conseils des prud’hommes ?" portant un rude coup au droit du travail.
Droit pour lequel un autre s’insurge : "L’Europe sert de point d’appui pour détricoter le droit du travail ! C’est inadmissible !"
Inadmissible oui. Mais alors pourquoi restez vous dans ce parti ?
Qui osera encore parler d’illusions ? Qui peut encore croire dans cette farce Droite/Gauche, ce janus-bifron de la dictature de Bruxelles, de la dictature la plus sordide et la plus implacable du capital financier ?
Et dont l’internationale "socialiste" reste un des piliers le plus solide, le meilleur champion.
Qui peut encore être abusé par cette foire d’empoigne des ambitions personnelles des Dray, Royal, Delanoé, Moscovici, Aubry, Fabius, dont le seul fait d’égrener la liste me soulève le coeur.
Les partis de la droite au moins sont les représentants naturels et en quelque sorte légitimes des nantis.
Mais ces socialistes, hypocrites, lâches, ces nullités crasses, ont été hissés là, dans les ors de la république, par le vote du peuple, par la volonté de changement des pauvres, dont ils ont foulé au pied les aspirations et le mandat. Ce ne sont que des parvenus, les domestiques à qui leur maître impérialiste a confié les clefs des cuisines et dépendances du château.
Qui se sont poussés et leur ont laissé un peu de place à la table du banquet des puissants.
Alors ils se chamaillent, sifflent et crachent, se disputant les meilleurs morceaux, comme des rats autour d’une charogne.
Félix Niesche pour E&R