Briser l’omerta. L’affaire est passée sous silence depuis près de douze ans mais des millions de citoyens, à travers le monde, continuent de débattre sur Internet de la question taboue.
La connexion israélienne des attentats du 11 Septembre : tel est le sujet qui provoque embarras, mises à l’index et désinformation de la part de nombreux journalistes et militants associatifs, notamment en France.
Ce qui suit est l’illustration de cette censure inavouée, à travers quatre exemples significatifs.
France 2
Décembre 2008. La scène se passe dans les locaux du Centre de formation des journalistes (CFJ), rue du Louvre à Paris. L’un après l’autre, les étudiants de la section audiovisuelle font visionner leur premier reportage long format à leurs collègues et leurs encadrants. Les deux principaux responsables de la formation sont Gérard Bernard, responsable à TF1, et Olivier Siou, rédacteur en chef adjoint du journal télévisé du week-end de France 2. Devinant la nature polémique du choix de mon sujet, j’attends la fin du cours pour diffuser ma vidéo. Celle-ci était consacrée à Richard Gage, fondateur du groupe Architects and Engineers for 9/11 Truth. Cet architecte américain conteste la version officielle délivrée par l’administration Bush à propos des attentats.
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Comme chacun des élèves en formation, je m’attendais logiquement, à l’issue du visionnage, à entendre des critiques sur les maladresses techniques de ce qui constitue alors une première expérience en matière de reportage. Il n’en fut rien.
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