sans vouloir mettre en doute la qualité de son intervention (bien qu’on apprend peu et qu’il ne met en lumière que très peu l’aspect nationaliste et souverainiste de la révolution cubaine), je fais noter que Viktor, comme ses collègues Beitrach, Vivas sont plus intéressés par ce qui se passe hors de nos frontières que dedans. Et après tout, c’est tant mieux, car Viktor est préfacé par Mélenchon dans son dernier bouquin (voir le site du grand soir).
Sa remarque sur les momes ukrainiens, je ne sais pas si "tout le monde" l’aurait fait. peut etre un universalisme trop prononcé.
Viva la révolucion ! y viva el trotskismo !

je ne comprend pas ce "viva el trotskysmo ! " non seulement que je ne partage pas mais en écoutant Dejaj, c’est clair c’est un communiste plutôt vielle école ce qui n’est pas pour me déplaire sensible à la dimension morale : écouter ce qu’il dit sur l’école à Cuba, le refus de Cuba de quémander de l’aide, la fierté des cubains tout en supportant la pauvreté,des médecins comme on n’en voit plus ces descriptions réalistes traduisent un état d’esprit nationaliste ce qui a toujours dérangé les petits bourgeois trotskystes... La manière de resituer le Cuba dans son histoire longue , ce qu’il dit de l’axe maffieu anti castriste de Miami soutenu par Israel , de la législation haineuse des USA pour Cuba qui remonte à deux siècles c’est une approche géopolitique que les trokskystes et la gauche européenne pcf compris est incapable de soutenir , Dejaj le dit d’ailleurs. Et de Mélanchon ma foi je m’en fous !