Bonjour Monsieur,
Je m’appelle A., j’ai 26 ans et vous écris ces quelques mots pour vous apporter mon soutien. Je m’excuse par avance si ce message encombre votre messagerie.
J’écoute et regarde depuis quelques temps énormément de vos interviews et compte me procurer prochainement certains de vos livres. Je pense comme vous mais je n’ai pas votre dialectique et vos connaissances pour pouvoir exprimer ces idées correctement. J’apprends de vous et vous remercie également pour ça.
Peu d’hommes possèdent votre courage et ont les couilles de faire ce que vous faites. Vous êtes une personne rare.
Je ne vous souhaite que du bien pour la suite et aurais aimé mettre un bras d’honneur comme signature mais je ne trouve pas le moyen de le mettre.
Respectueusement,
A.
Bonjour M. Soral,
Vous avez toute ma sympathie et mon soutien, même si je ne représente pas une personnalité importante. Vous êtes un exemple de droiture et de logique dans le raisonnement, très avant-gardiste, vous avez une lucidité imparable, qui n’est que la vérité finalement !
Tenez bon dans votre combat, c’est un combat noble. Pour ma part, je vous avais déjà écrit il y a quelques temps et votre petite réponse avait été un honneur pour moi. Comme je vous l’avait dit, mon père est juif et j’ai eu beaucoup de déboires avec une certaine communauté, tant d’un point de vue personnel que professionnel, sprirituel, social, voilà... Donc je comprends d’autant mieux votre position, pour moi vous êtes très courageux, j’espère un jour vous rencontrer en vrai.
Merci.
Cordialement,
O.
Bonjour / Bonsoir,
Juste pour vous dire qu’on m’avait longtemps tenu éloigné de vos vidéos, car je n’étais pas politisé et je bouffais ce qu’on me donnait. Ce que j’ai découvert de vous me laisse sans voix...
J’ai une seule chose à vous dire : courage. Je ne suis qu’une goutte d’eau dans le vase encore peu plein des gens que vous avez convaincus, mais surtout continuez votre combat. Vous êtes un homme droit, juste et qui n’a pas peur de se mouiller, vous redonnez de la dignité à mes valeurs chrétiennes.
Vous avez tout mon soutien.
M.
Bonjour,
Je faisais partie de ceux qui se disaient : rien à foutre de la politique, tous pourris. J’avais raison sur ce dernier point, mais je n’imaginais pas l’ampleur de ce à quoi nous sommes confrontés, j’ouvre les yeux (enfin) et je m’intéresse désormais aux réalités de ce monde, qui sont bien plus crades et obscènes que ce que je voulais bien admettre auparavant. C’est-à-dire le bout de mon nez.
Continuez dans ce sens, sachez que de plus en plus de Français commencent à comprendre tout comme moi et que les soutiens en votre faveur augmentent eux aussi.
A.