Ce n est pas ce qui ecrit vous devriez relire le texte... Amicalement.

@ Francky

On ne m’appelle pas Simple mind pour rien  :)

A la relecture, outre une présentation de lui-même, O. rend hommage et exprime des sentiments qui lui sont propres. Et, "encourage" à...

Davantage qu’une invitation à relire, que n’exprimez-vous pas ce sur quoi vous indiquez faire part.
.
Ainsi, serions-nous dans plus de clarté au-delà des devinettes  :)

Bien à vous.

Merci pour le lien marty ! ce prof est génial ;) ! Ca m’a énormément aidé pour la Géométrie différentielle.

Merci de m’avoir fait connaître ce personnage, existe- t- il un équivalent chez les francophones ? J’attends avec impatience ta réponse

Pour répondre à "snake eater", non, il n’existe pas d’équivalent francophone à l’extraordinaire professeur Wildberger, à ma connaissance. Il faut se mettre sérieusement à l’anglais. Ca vaut le coup.

« il refuse la doxa universitaire et certains fondements pourris en mathématiques que notre idéologie récentiste nous à imposé ("nombres réels", trigonométrie irrationnelle, théorie des ensembles infinis...) »

Je ne comprends pas trop le sens de cette remarque : pourquoi parler de « récentisme » ?
On sait qu’il est possible que l’arithmétique actuelle (et tout ce qui en découle) soit incohérent, mais cela n’a rien de certain.
Par ailleurs, en mathématiques, on ne fait qu’étendre le champ des connaissances en réalité, on ne « construit » rien à proprement parler, donc à l’erreur près, rien n’est sophistique.

Le terme "récentisme" est peut-être poussé un peu hors de son sens originel. Je précise ma pensée : on a coutume de dire qu’en mathématiques, nous devons tout ou presque au 20eme siècle. En particulier que la théorie des ensemble et surtout des ensembles infinis a apporté la lumière sur les fondements et que la pensée des anciens est archaïque. Ce qui est manifestement faux.
Wildberger refonde les mathématiques sur de nouvelles bases.
Il définit notamment la notion de "spread", équivalent de l’angle, qui ne trouve aucune définition en mathématiques à proprement parler (je sens que certains vont bondir de leur chaise).
Il refuse la fiction des ensembles infinis (et explique pourquoi et donne des preuves de ses contradictions), ce qui rend caduque toute définition honnête des nombres dits réels.

il n’y a rien d’idéologique à user du vocable le plus adéquat possible pour décrire un objet mathématique qui ne surgit pas de nulle part mais correspond à une résolution d’équation effectuée selon les règles de l’art.
Si vous cherchez un nombre tel que son carré soit égal à lui même augmenté de un vous ne trouverez pas de rationnel tels qu’ils sont définis dans un cadre théorique jamais mis en défaut.
Pour ce faire il faudrait préciser la chainon faillible dans la transmission et l’usage des savoirs depuis Euclide et sa description quasi exhaustive de la modélisation mathématique de la réalité physique de notre environnement humainement accessible.
Voire plus, l’intériorisation de la notion d’infini faisant échos à une nos intuitions collectives et révélant du même coup le besoin de transcendance inhérent à la condition humaine éprise de spiritualité . Sont savants ceux qui tiennent tous les fils du savoir et s’en saisissent avec sagesse. Pour affirmer que Wildberger en est, il faudrait l’étudier dans le détail et dans sa globalité.