Très optimiste ce témoignage.

« Tout n’est donc pas perdu dans notre beau pays, à condition que les gens se réveillent, et ce n’est pas gagné ! »
 Je ne crois pas que la France soit toujours un beau pays. Une atmosphère infâme s’étend progressivement partout.
 Que “les gens se réveillent”, cela relève du miracle. De même qu’on ne refait pas un système avec les mêmes qui ont échoué. Seule une minorité de “gens éveillés” ont le potentiel de sortir du désordre actuel qui marque la fin de notre monde (de l’occident). Que cette minorité se rassemble pour construire la société de l’avenir et laisser la société présente appartenir au passé.

Désolé de paraître pessimiste, mais je ne crois pas en un sursaut de conscience généralisé qui peut faire en sorte que tous les citoyens adoptent le bon comportement face à la crise afin de l’enrayer.
Je crains la loi de murphy...

Répondre à ce message

Quand j’étais ado, dans le bus sur le trajet du lycée, il y avait un pilou handicapé mentalement qui allait lui à son établissement et service d’aide par le travail (Esat). Et souvent, on discutait ensemble, la plupart du temps à son initiative. Eh bien, va savoir pourquoi, mais ça provoquait des regards de haine chez certains passagers ! Les mêmes d’ailleurs qui baissent les yeux quand t’as la caillera du cru qui raconte sa vie à haute et intelligible voix : "la vie d’oim, elle ma césu pour une retteba !"
Des sacs de courses dans chaque main, t’essayes d’aller te poser au fond du bus, semi-caillera psychotique bloquant le passage : "Hé ! t’es un bolosse, toi !"
Tu trouves la force de répondre "excusez-moi m’sieur, j’voudrais juste aller m’asseoir, vous êtes dans le passage." Parce qu’il y a des caméras dans le bus...

Dans l’affaire du viol dans le métro lillois, bien sûr que t’as envie d’incapaciter l’agresseur, mais l’enquête qui suivra consistera à t’identifier pour te demander des comptes, alors que le délinquant a probablement un casier long comme le bras, constitué du même genre d’affaires...

En fait, ce sont les politiques gouvernementales, combinées aux associations professionnelles de la pleurniche, qui sont mauvaises...
Et malgré tout, moi je vois, dans mon 93 dans lequel je suis né et je réside, ça se passe vachement bien, eu égard à ce qu’on nous a configuré ces dernières décennies...

Répondre à ce message

"Ratonnades", "gaouliades", autant d’agressions racistes au service exclusif de la propagande de nos maîtres. Des deux côtés les neuneus hyper-agressifs sont des marionnettes soumises à un système dont elles pensent être indépendantes voire qu’elles pensent contrecarrer. Quel misère.
.
C’est bon pour la France que des types comme toi, M, après de mauvaises expériences qui pourraient lui scier la compreniote, choisissent la réconciliation. Chapeau bas.
.
Et merde aux racailles (antifas, islamo, etc.)

Répondre à ce message

Continuons à nous instruire à savoir "se construire de l’intérieur" en nos consciences. Le site E&R, ses liens, ses vidéos, sa Contre-Culture, nos rencontres, les sections locales sont autant de passerelles vers un (r)éveil conscient !

L’éveil d’une minorité est le ferment de l’éveil du plus grand nombre. La culture politique à savoir une réflexion - un retour sur le Soi commun - est semblable à l’authentique Culture, le "faire croître et embellir" ! Partir de ce qui est pour aller vers ce qui sera ! Entre temps la Providence est notre plus sûre alliée.

Je comprends le dépit, le ressentiment et « c’est pas gagné ! » face à ce système luciférien ! Il a accouché d’êtres immatures, déstructurés voire nocifs !

Le corps social est semblable à notre corps biologique. Les cellules saines créent un rempart pour cerner les cellules cancéreuses ! Les cellules souches se réapprovisionnent pour venir aider les plus jeunes ! Pour entrer dans la forteresse, il faut faire ses preuves donc être éprouvé !

Prenez un gland dans vos mains et allez le placer à côté d’un chêne vieux de 30 ans. Lorsque quelqu’un me dit « ça ne donne rien, dans les faits, il sous-entend : ça ne ME donne rien de ce que je veux entendre. Il est normal d’attendre une réaction. C’est agréable et on a l’impression d’être l’initiateur de quelque chose.

Lorsqu’il n’y a pas de réaction, on reste sur l’impression que tout vient de s’éteindre et donc frustrant ! Mais, il se peut que sans le savoir et nous n’avons pas à le savoir, on a peut-être allumé le feu à une petite brindille !

Avec le temps, quelque chose va se produire, comme lorsqu’une minuscule tige verte s’extirpe du gland pour timidement tenter de se rendre à la surface de la conscience pour y grandir.

L’Esprit connaît son humain. Il sait ce qu’il peut prendre ou pas et comment le prendre. Pour certains, c’est la manière forte ; pour d’autres, c’est la graine de moutarde de la parabole.

Pour la personne, il s’agit toujours d’un événement ! Qu’importe sa réaction, perçue ou pas, à l’instant ou demain, rien ou quelque chose ! Cela ne nous concerne plus dès lors que nous aurons su bien semer. La qualité de la semence est importante avec l’authenticité dans le fond et la forme. L’essentiel est de semer. Le lâcher-prise personnel ouvre ainsi la porte à la Providence laquelle poursuit son oeuvre. Ainsi, la fécondité personnelle s’accomplit en celle plus vaste, celle impersonnelle de l’Esprit.

Répondre à ce message

Désolé de poser une question naïve mais je suppose que beaucoup se sont posé la même question : Ils sont où les "grands" ? les grands frères, les pères les mères ?

Car si ce sont de jeunes adultes à l’origine de ces violences, ils ne sont pas devenus "mauvais garçons" du jour au lendemain, où est l’encadrement minimal lorsque jeunes ados ils commencent à déconner ?

On ne peut pas s’empêcher de penser que leur entourage est démissionnaire, étant gosse si je faisais une connerie je me prenais une calotte, mes parents n’étaient pas forcément des champions de l’éducation mais si il y avait un truc qui cloche, ils venaient aux infos, me posaient des questions m’engueulaient et me bottaient le cul si je dépassais les limites.

Que foutent les parents quand il est encore temps ?

Quand de jeunes gars issus de l’immigration foutent le bordel c’est toute l’image de la communauté qui en pâti, il le savent mais on n’a pas l’impression qu’ils s’investissent pour les calmer.
Et quand on leur parle de ce problème ils refusent la moindre part de responsabilité pour nous rétorquer que l’on "stigmatise", que nos propos sont racistes, que c’est la faute de la société (une manière de dire que c’est la faute de personne et tout le monde).

Alors ok, ce sont quelques dizaines ou quelques centaines de cons par ci ou par là et il ne faut pas faire de généralité, mais maintenant faut que ça cesse.

C’est une résultante aussi de la politique de l’excuse mais ses gamins c’est pas la République qui doit les élever CE SONT LES PARENTS.

Répondre à ce message

Moi j’habite dans un quartier populaire à majorité musulmane et tout se passe très bien.
L’atmosphère est paisible ... bon 1 ou 2 scooters pour te casser les oreilles (pas forcément conduit par un arabe) de temps en temps.
Les jeunes qui fanfaronnent dans le quartier ou bien vendent des narcotiques sont vraiment ultra ultra minoritaires (1 trentaine tout au plus pour plusieurs dizaines de milliers d’habitants).
Et pour en avoir connus certains, cela ne dure pas, ils finissent tous par se marier et deviennent des travailleurs honnêtes. Puis ils sont remplacés au bas des immeubles par des jeunes de la génération suivante.
J’ai aussi assisté à un carnaval suite à la victoire de l’Algérie au Brésil. Il y a beaucoup de bruit certes, les gens dansent et c’est tout ; ça dure 2 heures et puis les gens rentrent chez eux.

Répondre à ce message

Amitiés patriotes à toi aussi ! Les résistants n’étaient qu’une minorité, mais ce sont toujours les minorités qui changent les choses !

Il suffirait que 10% des patriotes s’organisent efficacement, de gauche ou de droite, Républicains ou Royalistes peu importe la couleur politique (moi du moment qu’ils sont pour la démocratie directe)

Répondre à ce message

Le combat pour la démocratie importe bien plus que les tentatives de réconciliation, car seule la démocratie peut mettre fin aux violences perpétrées par des étrangers. Si la France était une démocratie au lieu d’être une république, les Français seraient amenés à se prononcer sur la question de l’immigration et je ne doute pas un seul instant qu’ils décideraient d’y mettre fin.

Répondre à ce message

La réconciliation est possible et elle et en marche.

Répondre à ce message

bonjour

la vie ne repose que sur un seul principe l’opposition : si celui-ci disparait la vie aussi

sinon je peux d’affirmer que la justice francaise est complice d’assassinatde tortures d’escroqueries etc.... (puisque la liste est longue).et bien d’autres choses encore.

Répondre à ce message