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Coronavirus. L’obscène.

La contrainte du port du masque est organique à la pandémie. Elle repose sur un mécanisme fétichiste. Elle saisit le visage, dont la capture est au centre du processus d’assujettissement.

 

Au contact de ce fétiche, l’individu est envahi par un sentiment d’altération de sa personnalité. C’est donc dans l’ordre visuel, celui de l’objet-regard, que se joue le sentiment d’obscénité. Il impose alors un impératif inconditionnel de ne pas assumer sa liberté et de consentir à la perte de son humanité. Il implique automatiquement une capacité d’abandon de soi, basculant dans l’obscène.

L’injonction met en place une procédure, où le désir de l’Autre se confond avec la violence de la contamination. Cet automatisme mimétique, destructeur du processus de différenciation, ne repose plus, comme dans la « lutte antiterroriste,« sur une guerre contre le droit. Ici, les libertés étant déjà détruites, il s’appuie sur une révocation de la Loi symbolique.

Dans la « guerre contre le coronavirus, » l’individu est happé par la jouissance de l’objet-regard présentifié par le masque. Il détourne alors l’usage de l’objet en satisfaction de la pulsion de mort. De part son caractère traumatique, celle-ci devient une compulsion de répétition, renversant le désir de l’Autre en jouissance d’objet.

La chose scopique est au fondement de la démesure sanitaire, qui articule, non plus le désir au Réel, mais fait l’injonction de jouir du Réel. Alors, ce qui est mis en scène n’est plus la parole, mais l’ ob-scène de l’objet masque.

Le covidisme prive les individus de leur visage. Il porte une violence, surpassant celle résultant de la suppression des libertés publiques et privées, réalisée par le droit antiterroriste. Si « la lutte antiterroriste » s’est principalement attaquée aux dimensions imaginaire et symbolique de la société, la « guerre contre le coronavirus » enferme dans le Réel de la psychose.

Le port du masque exhibe le consentement des populations au non sens de l’ensemble des dispositions « hygiéniques », à l’acceptation de mesures qui les détruisent. Si bien que refuser cette effraction de notre dignité mettrait fin à « l‘état d’urgence sanitaire. Au contraire, s’appuyant sur un passage à l’acte qui suspend la conscience, la généralisation du port du masque produit une homogénéisation des comportements. Elle supprime tout processus de différenciation et se pose comme religion universelle.

 

Une pédagogie de la contamination

Bien que même l’OMS reconnaisse que le masque ne protège pas du virus, son obligation est centrale dans la gestion de la « pandémie ». Cette organisation recommande cependant un port généralisé qui rappelle le danger et installe des attitudes « de précaution« . L’objectif reconnu est celui d’une mutation des comportements. Il s’agit d’une mesure d’éducation des individus, devant leur permettre de vivre dans une « société épidémique ». Avec son masque, la personne n’assiste pas à l’épidémie en simple spectateur. Sans être ni malade, ni contagieuse, elle fait l’expérience de la contagion.

Le port du masque relève d’une incorporation du discours sanitaire. Il se pose comme trait unitaire du corps morcelé et unifie la population dans la pandémie. Porter le masque, c’est être un avec le pouvoir qui détermine ainsi les modalités de notre jouissance. Cette emprise doit être permanente : le ministre belge de la santé, Franck Vandenbroucke, vient d’ailleurs de préconiser l’adoption « d’une culture généralisée du port du masque », applicable même après la « pandémie » du covid 19 , afin de « prévenir d’autres maladies telle que la grippe ».

Sans le respect de la contrainte du port du masque, toute la chorégraphie de la pandémie s’écroulerait. L’acquiescement des populations à l’impératif relève d’un rapport incestueux avec le pouvoir, consistant à attendre le salut de la part des instances politiques et accepter de ne pas être soigné.

Porter le masque consiste à reporter la charge de l’asservissement sur les individus qui s’y soumettent. Ces derniers doivent porter leur culpabilité en s’assujettissant au commandement surmoïque. Dès lors, les gens, qui exhibent le masque inscrivent, à la fois, le rejet de l’Autre et ce qui en résulte, leur propre anéantissement. Ici, ce n’est plus la dimension collective qui est prioritairement attaquée, mais bien ce qui nous constitue, un à un, comme être humain singulier.

 

Une procédure fétichiste

L’obligation du port est une procédure fétichiste se posant comme une nouvelle religion, identifiant un instrument d’humiliation, le masque corona, avec la croyance en sa fonction salvatrice. Elle rappelle ainsi le mécanisme fondateur du christianisme romain, procédant à une fusion entre un objet de torture, la croix, et la croyance en sa fonction de rédemption.

Sur base de la figure de la victime, l’empire romain a créé une nouvelle religion universelle, en convertissant le christianisme originaire en paganisme. Ici, le port du masque convertit les populations à un fétichisme global. Il crée une religion, qui, n’ayant plus ni de loi, ni de limite, repose uniquement sur un impératif catégorique, ordonnant aux populations de fusionner avec ce qui est dit et montré et ainsi de jouir de leur propre destruction.

Dans le christianisme romain et le dans covidisme, la victime est en position d’accueil de la violence subie. Cette place la met en situation d’activité passive et fait d’elle, à la fois, un héros et une victime. La centralité de la place de la victime engendre une sacralisation de la violence et produit une religion, basée sur une jouissance mortifère.

Sa généralisation résulte de la mise en place d’une machine mimétique, à travers laquelle, les individus cèdent sur le désir de l’Autre et prennent en charge la jouissance du pouvoir. Le port du masque est ainsi un oui à la mort du sujet parlant et un acquiesment d’être capturé. C’est un fétiche, il renverse toute symbolisation et permet un éternel retour du traumatisme.

Le masque corona est un enfermement de la population dans la contagion du « disque qui court ». Alors, l’impératif imposé par le pouvoir, et la jouissance sacrificielle, exprimée par les populations, se confondent. Le refoulement n’est plus possible, tout mécanisme de protection est levé.

Le masque met en lumière l’obscène d’une double perte, celles de « perdre la face » et de ne plus avoir de vis-à-vis. Le port défie les lois de la survie. Le « souffle », le lieu de la représentation du principe vital, est perverti par le masque. Celui-ci devient un fétiche source l’obscénité et annulant la procédure du refoulement. Il exhibe le spectacle de notre propre mort. Le masque est alors le surgissement de l’image angoissante de la tête de Méduse, la révélation de quelque chose d’innommable.

 

Effraction du Réel

La formation politique des classes dominées étant détruite, il n’y a plus de limite à la jouissance du pouvoir. Celle-ci peut alors se déployer hors sens et hors droit. Tout ordre juridique n’est plus seulement déconstruit, mais banni. N’ayant plus de place, il n’a simplement plus lieu d’être.

La démonstration du pouvoir, qu’il peut tout faire et tout dire, nous met face à l’effroi. L’attaque est bien plus profonde que celle produisant une fausse conscience. Elle procède à une destruction du Symbolique, de la fonction, encadrant la violence et permettant la construction du lien social. La soumission des populations ne s’effectue plus passivement, comme dans le discours de la « lutte contre le terrorisme« , mais activement dans l’engagement personnel des individus dans l’installation des mesures de « protection et de distanciation ».

Le port du masque détruit toute ouverture à l’Autre. Il produit une perte de « l’appétence symbolique », de ce désir de relation se manifestant en dehors de la satisfaction des besoins élémentaires. Il s’oppose à une poussée de la pulsion de vie, essentielle dans la mise en place d’un lien avec l’extérieur. Le port du masque corona relève alors d’une procédure d’évitement relationnel qui fait que l’autre n’existe plus. En tant que fétiche, il se substitue au lien social.

[...]

Le masque support de la psychose

Le masque coronavirus est au coeur du dispositif « sanitaire. » Il produit une auto-mutilation de son porteur et exclut le tiers. Grâce à la rupture avec toute instance tierce, toute distance avec le discours sur la pandémie est annihilée, permettant un éternel retour du traumatisme.

En l’absence de la possibilité d’utilisation de l’édifice du langage, c’est l’organe qui « fait fonction », qui se substitue ainsi au processus de symbolisation. Dans la pandémie, c’est le port du masque qui assume ce rôle. Ce faisant, il s’oppose à toute possibilité de symboliser l’effraction du Réel produite par la machine épidémique. L’objectif poursuivi est de promouvoir, par un surcroît pulsionnel, un sentiment de dépossession de soi, une volonté d’abandon de son humanité.

Le port du masque traduit un renoncement à rester des êtres humains. L’individu est alors assujetti au Réel produit par le spectacle de la « pandémie« . Il n’y a plus de distance possible entre l’individu et la maladie. Comme dans « Je suis Charlie », le masque exhibe « je suis corona ». Alors, le corps ne parle plus, il se réduit à un « lieu d’effraction de jouissance. »

Lire l’article entier sur mondialisation.ca

Comme prévu, sur E&R :

 






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32 Commentaires

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  • #2852380
    Le 28 novembre 2021 à 15:16 par Lametios
    Coronavirus. L’obscène.

    Article confus, on passe d’un point de vue à l’autre entre deux paragraphes, difficile à suivre. En plus la psychanalyse se prête mal à analyser des phénomènes collectifs puisque son approche est individuelle. S’il fallait clarifier :

    - Oui, il y a un fétichisme du masque, mais pour beaucoup le masque est une soumission au pouvoir, ils ne sont pas sincèrement en train de lui vouer un culte. Attention à la psychologisation qui évacue le rapport social. C’est avant tout un signe qui permet à la partie manipulée de la population de se retourner contre les autres. En ce sens, ce n’est ni plus ni moins qu’un autre signe d’appartenance à la secte.
    - Oui, le masque efface le visage, la partie reconnaissable de nous-mêmes et par extension notre personnalité. En ça il est dans le prolongement d’un libéralisme qui veut effacer l’individu pour le normer et le catégoriser dans des segments de marché.
    - L’indifférenciation des individus est caractéristique de deux choses : des groupes sociaux fragiles qui exigent un conformisme rigide pour se protéger de l’effondrement interne, et en réaction la violence mimétique individuelle, une tentative de se différencier par l’escalade agressive.
    - Les passages sur la jouissance sont délirants, mais c’est normal, c’est du lacanisme. Par contre, là où il y a clairement une jouissance perverse, c’est dans le fantasme de contrôle total des élites, un peu comme dans la pédophilie. Ils jouissent de la toute-puissance face à un faible et deviennent hystérique dès qu’un fort leur résiste, un gaulois marseillais par exemple.
    - Le parallèle masque/croix entre parfaitement dans le cadre des perversions sociales dont D-R Dufour parle dans son dernier livre, un détournement de la signification mystique du sacrifice. Mais encore une fois, seule une minorité d’allumé y croit, la plupart se soumettent au pouvoir : c’est un rapport social, pas une expérience mystique.
    - L’effondrement du symbolique est certain, oui, tout est perverti. L’ordre social s’érige sur le principe du tous contre tous, du danger permanent.
    - S’il y a un éternel retour du traumatisme, c’est par une inaction politique. On est traumatisé par ce à quoi on ne fait pas face, par les peurs, les évènements et les expériences qu’on n’ose pas affronter. L’anathème de complotisme sert à détruire psychologiquement les populations en leur interdisant toute action politique par l’interdiction de désigner l’ennemi.

    Mon résumé en quelques point simples cet article jargonnant.

     

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  • #2852388
    Le 28 novembre 2021 à 15:34 par derf
    Coronavirus. L’obscène.

    Pourquoi quand vous regarder les acteurs (des productions cinéma/télé des films et séries réalisés depuis le débuts des "gestes barrières" obligatoires) ils ne portent pas de masques dans les films ou les séries ?
    Fictions ou pas ils devraient être tenus d’êtres filmés avec ces putains de masques et nous de les regarder les porter.
    J’ai toujours penser que le masque était le pire de nos problèmes liés à cette pandémie. Si dès le début on nous colle partout des personnes qui parlent le langage des signes à chaque allocution traumatique liée au covid cela n’est pas un hasard. On se demande si ils ne finiront pas par donner des cours à l’école de langage des signes pour pouvoir compenser l’absence du langage facial supprimé à cause des ces foutus masques.

     

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  • #2852404
    Le 28 novembre 2021 à 15:52 par Parent5
    Coronavirus. L’obscène.

    J’ai remarqué qu’au fil des mois on peut faire trois types de masqués :

    - Le masqué ultra co-labo qui a le masque pratiquement jusque sous les yeux(en général il porte en plus des lunettes et une casquette)

    - Le masqué moyen qui l’a juste au-dessus du nez

    - Le masqué bouche qui le porte sous le nez

    Par chez moi sous le marché couvert ,sans masque (malgré le panneau) les policiers municipaux ne disent rien (et ne le portent pas systématiquement)et au Supermarché le patron a enlevé tous les panneaux "masque obligatoire"( suite à l’université de LRM où personne n’avait de masque) et malgré tout 95% le gardent.

     

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    • #2852509
      Le Novembre 2021 à 18:30 par derf
      Coronavirus. L’obscène.

      Pour moi ils sont tous aussi nocifs et surtout complices

       
    • #2852730
      Le Novembre 2021 à 05:39 par Sudiste
      Coronavirus. L’obscène.

      @derf
      Donc comment fais tu pour tes gosses à l’école, et je bosse comment ?
      Comment fais-je pour les connards qui ne m’achèteraient pas ma production sans masque ?
      Moi je veux bien résister, mais comment je paye mes presque 20 000€ de charges, comment je bosse, comment je fais pour mes gosses ?
      Ma banque, crois-tu quel va me dire, non monsieur X on sait que vous avez plusieurs enfants en primaire, et plusieurs enfants à la maison, et au collège, on sait que vous allez un jour payer vos charges, vos cotisations, on sait que vous êtes honnête, on va pas venir vous saisir votre outil de production, on va pas vous saisir votre matériel, on va pas vous saisir votre maison, vous payerez quand tout sera fini... On a confiance
      Je fais comment j’écris aux impôts, à l’administration fiscale, à ma chambre ??
      Je jette ma production et paye pas mes investissements ??
      Et mes gosses, comment je fais pour qu’ils prennent le bus scolaires, c’est masque obligatoire, je les emmene à l’école et au collège en camion et comment puisque je gagne plus rien, je paye le carburant, l’assurance si je jette ma production et que je vends plus, comment je paye la scolarité ?
      Non parce que en commentaire moi aussi je refais le monde
      Mais j’ai une réalité économique
      Ces investissements je les ai fait avant le Covid-19, même avant Macron
      J’ai pris des risques pour du long terme une entreprise ça marche pas au jour le jour
      C’est des investissements, des bénéfices, des coûts, des amortissements, des pertes, des profits...
      Comment fait on ?
      Et les ATD les huissiers, les contrôles, eux ils s’en branle, ma banque elle s’en branle, d’ailleurs elle n’attend que ça que je me casse la gueule, elle se servira sur mon cadavre en regardant mes gosses et ma femme pleurer
      Non parce que comment on fait pour faire vivre une famille au RSA si je ferme, comment je paye ce que je dois si je produit plus rien, comment j’explique a ma banque et à l’administration fiscale que je paye plus parce que j’arrête, sans qu’ils viennent me saisir ?
      Donnez moi la solution et je vous suis, je suis pas vacciné, je vous écoute
      Merci

       
    • #2852878
      Le Novembre 2021 à 11:17 par derf
      Coronavirus. L’obscène.

      @ Sudiste
      Vous avez tout à fait raison et la seule chose que je peux vous dire et qui n’appartient qu’à vous c’est : Faites ce qui vous semble être "juste".

       
  • #2852417
    Le 28 novembre 2021 à 16:11 par gardener
    Coronavirus. L’obscène.

    Prenez votre courage à deux mains mon cousin, ne portez pas votre masque et vous ne verrez bientôt que des marques de sympathie à votre encontre, je vous le garantie.

     

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    • #2852609
      Le Novembre 2021 à 20:36 par Domino
      Coronavirus. L’obscène.

      J’ai déjà remarqué ça quelquefois, dans des petits commerces. C’est récent

       
    • #2852746
      Le Novembre 2021 à 07:16 par #JeSuisMéchant !
      Coronavirus. L’obscène.

      ...En Asie, les gouvernements ZOG poussent à la délation, mais les "bonnes gens" ne fonctionnent ici qu’à la menace “porte-monnaie”... La majorité des goys n’ont plus peur du "Corona-Bla-bla", car s’il y a une chose que les asiatiques sont assez fort, c’est à la comptabilité et au business en général > ils ont vite fait les calcules bénéfice/risque financier de l’opération Shoah-19... (ou comment ZOG dilapide les contribuables en toute impunité...)

      Maintenant, si ZOG commence à donner des primes aux civils (serviles) pour réveiller la gentil balance citoyenne qui sommeille en chacun d’eux, ca risque effectivement d’être un fe$tival très bonbon LOL

      Très sérieusement, si tout les goys avaient donné l’exemple comme je le fais depuis 2 ans, Pfizer&Co serait passé à autre chose depuis longtemps...

      - Ni masque, ni injection, ni TV

      J’ai toujours tenu le même message clair autour de moi :

      - celui (ou celle) qui essaiera de m’injecter avec cette merde de mon vivant, subira d’abord une "injection" de ma part (...dose unique & 100% efficace...)

       
  • #2852427
    Le 28 novembre 2021 à 16:19 par Kiki
    Coronavirus. L’obscène.

    Pourriez vous faire le portrait psychologique des psychopathes qui défigure ses semblables et qui semblent jouir du spectacle ?

     

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  • #2852529
    Le 28 novembre 2021 à 19:01 par voxpop
    Coronavirus. L’obscène.

    Ce que j’ai remarqué surtout, c’est que les moutons (la majorité hélas) ont la mémoire courte, très courte même. Ils ont oublié les mensonges concernant les masques, ils ne suivent pas les infos, mais hélas les entendent d’une oreille ou du coin de l’oeil, ce qui au final les lobotomisent X2 car ces bestiaux ne sont pas du genre "autonome" et "réfléchis", donc concernant l’information annexe sur les réseaux sociaux ils là zap pour rigoler sur une image plus rigolote. Cet abrutissement et conciliance resté sans questionnement de leur part restera à l’état amorphe tel leur âme.
    C’est bête, mais cette masse uniforme doit avoir un guide quoi qu’il en soit, je savais qu’il y avait beaucoup de "cons" sur terre, mais le pire, c’est que l’on peut "limite" les chiffrer maintenant, je dis bien "limite".

     

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  • #2852562
    Le 28 novembre 2021 à 19:39 par nico
    Coronavirus. L’obscène.

    Les masques sont autant de "BFM TV sur pattes" qui viennent vous envoyer leur message anxiogène quand la TV n’a pas la possibilité de le faire.
    " N’oubliez pas la dangereuse pandémie "

     

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  • #2852568
    Le 28 novembre 2021 à 19:47 par petithous
    Coronavirus. L’obscène.

    Accepter de porter le masque c’est un façon de renoncer à son identité.
    C’est pourquoi, dès le départ j’ai toujours refusé de porter le masque, quelles que soient les circonstances .
    J’ai découvert récemment que sur les sites de rencontres, certaines femmes mettaient comme photo de présentation, une photo avec le visage masqué ... peut être pensent elles que l’on peut se contaminer par internet .

     

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  • #2852583
    Le 28 novembre 2021 à 20:03 par louises
    Coronavirus. L’obscène.

    Il y a aussi une forme de liberté derrière tout ça,
    pour qui veut bien la voir.

    Il n’y a plus d’information, plus de politique, il n’y a plus (ou beaucoup moins) d’injonctions de toutes sortes.

    Tout ce que l’on vous demande, c’est de porter le masque.
    Si le "système" cherche a s’afficher de pareille manière, c’est qu’il n’a jamais été aussi faible.

    On prétend que le big data voit tout, anticipe tout, que l’IA va reigner d’ici six mois, mais qu’en est t’il ?

    Si un système peut mourir via l’aberration médicale, pourquoi pas ?
    C’est mieux que les aberrations militaires, ou religieuses.

     

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  • #2852628
    Le 28 novembre 2021 à 20:58 par Fela Kuti
    Coronavirus. L’obscène.

    Le point positif quand on ne porte le masque nul part, c’est qu’on attire et remarque directement les gens réceptifs, en 2019 tout le monde tirait la gueule, société de merde, mais maintenant il y a cette subtilité qui rapproche les gens qui veulent conserver leur humanité, c’est plutôt cool en fait.

     

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    • #2852899
      Le Novembre 2021 à 11:46 par derf
      Coronavirus. L’obscène.

      ça s’appelle trier le bon grain de l’ivraie, en un clin d’oeil.

       
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