Vous habitez le Chapet, ou au Chapet, une petite commune des Yvelines de 1 300 habitants, et vous voyez arriver 100 migrants mineurs, enfin prétendument mineurs, hébergés par l’État, c’est-à-dire vos impôts, dans des bungalows. C’est la fête sauce SOS Racisme.

Quand l’ingénierie sociale se fait moins subtile et montre toute sa violence

Le côté banal de cette greffe ne doit pas éclipser son côté délirant, destructeur, presque vengeur. Mais qui en veut aux Français à ce point ? Qui leur fout dans les pattes ces déracinés qui ne peuvent qu’être remontés contre ceux qui les regardent de travers ?

Qui veut détruire notre pays en y injectant des individus qui n’ont rien à y faire, qui ne savent rien faire, et qui ne veulent au fond que profiter de ce qui a été bâti ? Qui nous hait à ce point, qui ?

Les Français qui étaient petits dans les années 60 ont vu arriver les premiers Portugais, les premiers Algériens et les premiers Africains noirs dans leurs classes. À l’époque, il en atterrissait un par classe, c’était exotique. Le nouveau venu était accepté après quelques approches timides, quelques questions curieuses, et un foot mettait tout le monde d’accord.

Un demi-siècle plus tard, ce sont des régiments qui sont envoyés, des carrés au sens napoléonien, dépêchés sur le front français pour y enfoncer des coins, et vaincre un peuple qui n’est pas en armes, puisque, et c’était bien le but, elles lui ont été retirées.

Les Français, on l’entend dans ce reportage, sont complètement désarmés devant cette invasion. On leur a ôté non seulement les armes qu’ils avaient encore au XIXe siècle, le dernier âge des duels, mais aussi les armes politiques. Car le politique, le préfet en l’occurrence, qui prend ses ordres de l’Intérieur, qui lui prend ses ordres de qui vous savez, non, pas le Président, plus haut..., joue contre les villageois, contre l’équilibre social.

Il n’y a aucun moyen de défense contre cette armée mondialiste financée par Soros, Schwab, la Banque et les traîtres aux commandes. Tout est fait pour détruire, affaiblir, démoraliser les hôtes, des malgré-nous comme on disait en 43 à propos des Alsaciens enrôlés dans la Wehrmacht.

Il y a encore quarante ans, les Français croyaient à la fable socialiste sur les étrangers qui allaient nous apporter le sourire, l’exotisme, le travail, toutes ces conneries. Le travail, les libéraux au pouvoir depuis 1983 l’ont sciemment démoli, comme chez Thatcher de l’autre côté de la Manche. L’exotisme, aujourd’hui, c’est un petit Blanc dans une classe de racisés, pour reprendre l’expression des wokistes qui font dans l’inversion permanente. Le sourire, plus personne n’y croit : ceux qui arrivent par bateaux affrétés par l’UE haïssent la France et les Français, car ils ont été nourris au lait de la décolonisation, et on peut le comprendre.

Le problème, c’est qu’en plus, chez nous, les Français ont été stigmatisés, et les immigrés ont été élevés au pinacle, alors qu’ils n’avaient rien fait d’extraordinaire. Construire des routes ? Les Français l’ont fait bien avant leur arrivée. Sauver la France en 44 après le débarquement à Marseille ? Faut s’appeler Omar Sy ou Jamel Debbouze pour croire à ces balivernes sorties tout droit d’un livre d’histoire de 6e pour enfants de socialistes parisiens.

On comprend mieux pourquoi les jeunes couples
n’ont pas accès au logement social !

Ce n’est plus un grand remplacement, c’est un projet de destruction ouvert. Cependant, ce ne sont pas des clandestins qui ont foutu le feu à Notre-Dame ou qui récupèrent les intérêts de la dette. On pourrait dire qu’ils sont à la même enseigne que nous : dans la merde horizontale, avec un magicien retors qui crée du terrorisme de chaque côté, à l’israélienne, pour détruire et le peuple français et l’armée de migrants.

C’est pourquoi la seule porte de sortie possible est de ne pas se faire la guerre entre ceux qui aiment la France et ceux qui ont été éduqués à ne pas l’aimer (on inclut dans les migrants les gauchistes, qui ont été littéralement intoxiqués par les socialistes communautaires). Ce sera dur, pour les deux côtés, mais c’est ça ou la destruction mutuelle. Car la guerre civile conduira à la mort des deux armées et à la victoire de l’oligarchie, celle qui hait viscéralement autant les Français que les immigrés.

Logés dans des châteaux