Egalité et Réconciliation
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Cérémonie LGBTphobe en mondovision

Sans surprise, en ce 27 juillet de l’an de grâce 2024, toute la fachosphère peste contre la cérémonie sataniste de l’oligarchie française.

 

 

Porno cheap, pédocratie et Schtroumpf pédé

Médias-Presse-Info, Boulevard Voltaire, Riposte laïque (d’ailleurs dans un très bon papier) ont sorti la kalach et la guillotine, mais tout ceci reste heureusement – pour les vilains – très virtuel. Les Gilets jaunes avaient eu cette tentation. Ils s’étaient fait tabasser par le pouvoir, comme les gens sains d’esprit qui ont osé regarder cette soirée infernale du 26 juillet 2024.

Ceux qui suivent l’info profonde sur les Macron et leurs employeurs depuis 10 ans dans Faits & Documents ont baillé devant ce spectacle calculable au possible. La recette était simple : fourrer la France avec une énorme saucisse LGBT, histoire de bien se mettre les gauchistes dans la poche – toujours aussi masos, ceux-là – et de faire aboyer les fachos, la caravane de la Banque, comme toujours, passant tranquillou au milieu.
Cerise avait raison : le conflit triangulé est là, sous nos yeux, et beaucoup tombent dans le piège.

L’abjection de cette soirée a deux têtes : la première, c’est l’insulte permanente faite aux chrétiens, bien sûr exprès, histoire de détruire définitivement le socle chrétien de notre pays, et ce, devant le monde entier, comme un message clair. La seconde, c’est un autre massacre, mais pas symbolique celui-là. Il concerne les Palestiniens, qui sont victimes d’un génocide clair, net et sans bavure. C’est un fleuve de sang qui coule de Gaza et qui perturbe le monde entier.

L’immense Jacques Attali valide la cérémonie démoniaque :

 

 

Cette intervention quasi divine a évidemment engendré une nuée de mèmes, dont voici le plus présentable.

 

 

Dans la maison d’en face, on demande encore le rapatriement des otages, pendant qu’on assassine tout un peuple. On se demande s’il y a encore un rapport entre le 7 Octobre et le génocide... La nageuses n’ayant pas eu le droit d’arborer un pin’s relatif aux otages, elles ont trouvé cette solution :

 

 

Parce que théoriquement, toutes les nationalités représentées aux JO doivent laisser leurs conflits, donc la politique, aux vestiaires. C’est écrit noir sur blanc dans la Charte olympique, mais ça n’a pas empêché quelques règlements de comptes israélo-palestiniens. D’un côté, le bateau de la délégation israélienne a été copieusement sifflé sur la Seine, et de l’autre, on essaye d’arracher les drapeaux de la résistance dans le public...

 

 

MPI a fait le boulot, alors allons-y. On pourrait appeler cet article le bon goût pédosataniste.

La Rédaction d’E&R

 


 

Analyse de la cérémonie sataniste d’ouverture des JO de Paris

Depuis hier soir, c’est une avalanche de commentaires abasourdis et scandalisés qui suivent la « cérémonie » d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris organisée à grands frais devant un grand nombre de chefs d’État de tous les continents et diffusée en mondiovision par les caméras de télévision. Appelons un chat un chat : ce ne fut pas un spectacle de « mauvais goût », ni wokiste ou dégénéré mais une cérémonie sataniste savamment orchestrée.

 

Résumons ce qui a été exposé vendredi soir aux yeux de la planète entière.

 

La République sanguinaire et anti-chrétienne se célèbre

D’abord, la célébration de la République qui décapite la France millénaire bâtie sur la monarchie et le christianisme. Sur la façade de la Conciergerie, là où la reine Marie-Antoinette fut emprisonnée avant d’être décapitée, apparaît un groupe de métal rock, du genre que l’on voit au Hellfest, éructant, tandis qu’aux fenêtres sont placées des représentations animées de la reine Marie-Antoinette, la tête coupée et sous le bras chantant « Ah ça ira, ça ira, les aristocrates à la lanterne… ».

 

 

Quant à la Marseillaise, elle est chantée par une femme noire, illustration de la « nouvelle » France.

 

La promotion du « trouple »

Ensuite, est projeté le clip d’un « trouple » multiracial LGBT. Le message promeut l’échangisme et l’infidélité, la destruction de la famille traditionnelle qui permit à l’humanité de se bâtir sur des bases saines et durables.

 

 

La Garde républicaine clownesque

Puis, c’est Aya Nakamura qui sort de l’Institut français, autrefois temple du savoir regroupant les plus grands savants français. La nouvelle France accouche du vulgaire devant lequel gigote la Garde républicaine devenue ses clowns.

 

 

La parodie blasphématoire LGBT de la Cène

La suite est composée de drag-queens et travestis parodiant la Sainte Cène, le dernier repas de Jésus-Christ avec ses apôtres. Détail à noter : le chapitre 13 du livre biblique de l’Apocalypse décrit la bête de Satan avec sept têtes, comme la drag queen avec sa couronne au milieu, qui prend la place de Jésus-Christ. On remarquera enfin la présence d’une jeune fille au milieu de cette « troupe »…

 

 

L’encouragement à la débauche

Les drag queens poursuivent ce repas avec Dionysos, dieu grec du vin, symbole de l’ivrognerie et de la débauche qui s’ensuit.

 

 

Le symbole du cavalier de l’Apocalypse…

La scène suivante est celle d’un cavalier de l’Apocalypse apportant au galop le drapeau olympique.

Apocalypse 6:8 :
« Je vois un cheval vert pâle. Son cavalier s’appelle « la Mort », et le monde des morts marche derrière lui. Ils reçoivent le pouvoir sur le quart de la terre. Ainsi ils vont tuer ses habitants avec l’épée, la famine, tout ce qui apporte la mort et avec les bêtes sauvages de la terre. »

 

… qui apporte le drapeau olympique hissé devant le veau d’or

 

 

Macron, lors de l’une de ses interventions filmées, annonçait la Bête. Il vient de confirmer qu’il en célèbre le culte.

 


 

Toute ce théâtre est censé être antireligieux, du moins antichrétien, et encore plus antimusulman (au Maroc, les passages blasphématoires ont été coupés à la télé), mais ça nous rappelle quand même une religion.

On va demander à Hindi et Guyénot, ils doivent avoir une idée sur le sujet. Hindi a bossé sur la pseudo-laïcité, qui cache une religion d’État, et Guyénot sur les origines de la première religion monothéiste.

On termine sur Di Vizio qui rappelle que « la morale publique est une composante de l’ordre public »...

 

 

La soirée par R&R