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Carnaval d’Alost : où est passé le légendaire humour juif ?

Les sionistes, après avoir tué la liberté d’expression, ont tué l’humour juif. Un humour qui s’exerçait aussi dans les camps de concentration, entre coreligionnaires. Mais ça, les sionistes d’aujourd’hui s’en foutent car ce qui compte, ce n’est pas l’humour ni le respect des morts, c’est le pouvoir ici et maintenant ! Le pouvoir de dire ce qui est bon ou mauvais, drôle ou pas drôle, moral ou amoral bref, le pouvoir sur l’opinion, qui donne le pouvoir sur le politique.

 

 

Le carnaval d’Alost est un excellent révélateur des tensions dans la société créées par le lobby sioniste, à qui on n’a rien demandé, en France comme en Belgique. On n’a demandé à personne de se prendre pour Dieu ou la Cour suprême, de nous dire ce qu’on doit penser ou écrire. Ces gens sont fous, et le tweet haineux du petit Glucksmann restera dans les annales. On l’a photographié, au cas où...

« Dégénérés », rien que ça ! De la part de celui qui se prend pour la Justice à lui tout seul, un esprit malade de la censure qui n’a aucune légitimité avec ses 6 % de voix en France... Qu’ont fait les Français et les Belges pour mériter cette haine irrationnelle et durable ? Ah, oui, Degrelle et Vichy, c’est donc ça le problème... Ou le prétexte ? Un prétexte pour censurer et dénoncer, accuser et démettre, un prétexte pour renforcer le pouvoir d’une minorité agissante sur une majorité entretenue dans la culpabilité depuis des décennies.

Les Français, et aujourd’hui les Belges – mais nous sommes à la même enseigne – ne doivent pas accepter de se faire insulter par des gens qui pensent qu’ils sont au-dessus des lois. Le jeune Glucksmann a franchi la ligne rouge, une ligne rouge que son parti, le parti sioniste français, franchit allègrement chaque jour car c’est lui qui l’a fixée, mais une ligne rouge que leurs adversaires, les prétendus antisémites, n’ont évidemment pas le droit de franchir. Et quand ils le font, c’est la tempête dans les médias.

 

 

Il faut être fou pour vouloir mettre tout un peuple au pas, en l’alignant sur des désirs et des lubies ultracommunautaires ! Convoquer « Auschwitz » à tout bout de champ crée un malaise : d’abord ça banalise totalement la Shoah – et après on se demande pourquoi les jeunes jouent au foot dans le crématoire – et ça énerve les accusés permanents, qui ont d’autres chats à fouetter. C’est ainsi que, très intelligemment, dans une défense à la Vergès, ou une prise de judo à la Dieudonné, les organisateurs du festival d’Alost ont augmenté la dose en 2020 :

 

 

Quoi, on n’aurait pas le droit de rire de ça ? Lisez la littérature concentrationnaire, les vraies victimes (qui ont survécu) riaient aussi car dans le désespoir, c’est une respiration nécessaire. D’ailleurs les livres des vrais témoins de la Shoah sont inexploitables par le pouvoir sioniste aujourd’hui, ils sont trop gris, pas assez manichéens... Les juifs de la dominance, qui se gargarisent de l’humour juif censé être autodérisoire, né du désespoir des ghettos, quand les sionistes avaient encore des idées de gauche avant de devenir des faucons d’extrême droite, ont perdu leur humour. C’est pour ça qu’ils n’acceptent pas l’humour sur eux.

 

 

Naturellement, la bande habituelle des obligés du lobby sioniste poussent des cris en hurlant au loup nazi.

 

 

Après ce petit rappel orwellien, voici quelques-uns des détenus français du sionisme qui sont obligés d’en rajouter, histoire de ne pas perdre leur poste, qui ne tient qu’à un fil... Remarquez l’emphase dans les qualificatifs (il faut faire toujours plus fort que la fois précédente, mais le dictionnaire a des limites) :

« Jean Quatremer, correspondant de Libération à Bruxelles, a également réagi : "La Belgique au XXI e siècle, par ailleurs pays où l’on peut vendre et exposer librement des reliques nazis".
Valérie Rabault, présidente du groupe PS à l’Assemblée nationale, répondait, elle aussi, au tweet de Raphaël Glucksmann : "C’est effroyable".
L’éditorialiste de LCI, Jean-Michel Aphatie, y allait aussi de son tweet de dénonciation : "À ceux qui croient ou répètent bêtement que la liberté d’expression permet de tout dire, l’entêtement malsain du carnaval d’Alost, en Belgique".
Le cinéaste Xavier Beauvois répondait : "C’est hallucinant ! J’ai pas de mots". Celui qui a notamment réalisé le film "Des hommes et des dieux" ajoutait ensuite : "Une ville qui vient de se couvrir de honte, d’infamie, une ville à vomir".
Toujours dans le monde du cinéma, l’acteur et metteur en scène Éric Laugérias signalait que "l’antisémitisme est un crime, pas une opinion...". Avant d’ajouter : "minable". » (Source lalibre.be)

On le voit, que de grands esprits de l’autorité morale et artistique... Dans cette affaire, il est à noter que de moins en moins de « dhimmis » du sionisme, parmi les personnalités du monde médiatico-politique, se mouillent pour le lobby. Il y a encore quelques Aphatie bien sûr, mais les collabos se raréfient. Serions-nous en 1943, à l’heure d’un grand basculement ? Le vent aurait-il tourné ? L’avenir nous le dira...

 

Les dhimmis du sionisme du jour : Marc et Marie

Marie « reporte son thread » et Marc « dédie son compte à l’Auschwitz Museum »... Le belgo-nazisme n’a qu’à bien se tenir !

 

 

 

 

Les images du carnaval qui ont fait le tour du monde

Le maire flamand, qui a autorisé cette tradition vieille de 600 ans, a été présenté comme un bouffon :

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