J’adhère pour partie à ce commentaire : bonne fête aux juifs du monde. Nous sommes tous frères et soeurs. Ce que les esprits ne peuvent fondamentalement pas accepter sur la durée, c’est l’injustice, comme l’enfant d’où qu’il soit, dans sa prime innocence, n’acceuille pas favorablement l’injustice, avant le formatage par l’éducation qui cultivera la bienveillance et le respect pour toute forme de vie (transmis par l’exemple), ou non.
Ce que j’ai trouvé de spécifique chez le peuple juif, c’est une propension chez un grand nombre d’entre eux à accepter de bénéficier plus ou moins passivement des actions manifestement non éthiques (sauf à considérer éthique la recherche du bien pour soi au détriment d’autrui, dans une identification communautaire), racistes et jusqu’à criminelles, de ceux qui ont le pouvoir et se déclarent leur représentants.
En me projetant à leur place, étant donné la pression intra-communautaire - et je ne peux sérieusement pas mésestimer l’influence de la mémoire (cultivée et non apaisée dans la transparence) du génocide dont ils ont été l’objet - la peur que cette pression peut générer chez eux, JE RECONNAIS QUE JE COMPRENDS.
Cette spécificité, par certains aspects, je la retrouve dans de multiples communautés, par exemple dans une partie du peuple de France qui se satisfait sans comprendre des bienfaits pour lui des actions de ses "représentants" (qui ne sont pas tous juifs) au détriment de populations à l’étranger, par l’exploitation minière à bon compte, par exemple. JE LE VOIS.
Ce que je vois, ce sont des comportements individuels non éthiques, nés de la relation aux miroirs de Soi que sont les ascendants et toute production médiatique, symbolique, tout comportement d’autrui.
Les humains sont fondés à manifester l’intelligence communautaire de la vie. Chacun est appelé à croître en conscience. L’indifférence est un poison pour l’esprit, comme le sont la haine et le désir-attachement.
Il est remarquable d’observer que donner la vie ou la prendre peut se faire dans l’amour authentique, sans aucune de ces trois émotions perturbatrices. Ce que je transmets là peut être considéré comme extrêmement tendancieux. C’est une vérité de grande envergure qu’il est difficile de réaliser (nous sommes encombrés d’émotions qui nous perturbent). Le grand pouvoir associé au grand respect, en traversant toute peur, dans l’humilité de l’attention bienveillante (sans dualité mentale cultivée), se manifeste à l’esprit, le reflet de l’Esprit.