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Brexit : et si la City était pour ?

Interrogée par Jean-Michel Vernochet, Valérie Bugault analyse les suites du référendum pour la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Les élites financières ont-elles anticipé le Brexit ?

 

Prolonger l’entretien avec E&R :

 






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42 Commentaires

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  • #1503456
    Le 6 juillet 2016 à 06:32 par Druide
    Brexit : et si la City était pour ?

    Rupert Murdoch est eurosceptique et ça ne l’empêche pas d’être plus sioniste que les sionistes... Voilà qui est très significatif et révélateur d’un certain courant (néocon) très particulier, dont la posture consiste à s’opposer à grand bruit au mondialisme à tendance libérale de l’UE et de l’Onu, voire du CFR et de la Trilatérale, etc., mais toujours à la manière de la John Birch Society, c’est-à-dire en prenant bien soin de ménager les fans de l’état sioniste.

     

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  • #1503517
    Le 6 juillet 2016 à 09:59 par jojo
    Brexit : et si la City était pour ?

    Après le Brexit les Anglais ont abaissé l’impôt sur les sociétés à 15%, en France il est à 33%... Si les Anglais réussissent leur Brexit, tous les pays de l’UE vont vouloir en sortir, il est possible que les sionistes cherchent donc à torpiller financièrement l’Angleterre .

     

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  • #1503528
    Le 6 juillet 2016 à 10:12 par SC31
    Brexit : et si la City était pour ?

    @M. Vernochet : couper la parole à vos invités en pleine introspection est aussi pénible pour eux que pour l’auditeur. Des commentaires spontanés jetés à la figure brisent une réflexion fertile qui ne viendra plus. J’espère qu’on aura l’occasion de réentendre Mme Valérie Bugault car cette vidéo est l’une des plus intéressantes jamais publiée sur E&R.

     

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    • #1503885
      Le Juillet 2016 à 20:07 par Laurent
      Brexit : et si la City était pour ?

      +1
      C’est systématique et systématiquement pénible.
      Je ne comprends pas qu’un type aussi intelligent n’ai pas encore corrigé ça...
      Egocentré à mort

       
    • #1504283
      Le Juillet 2016 à 13:30 par alvaro
      Brexit : et si la City était pour ?

      effectivement, c est pénible.

       
  • #1503531
    Le 6 juillet 2016 à 10:16 par Max Gdx
    Brexit : et si la City était pour ?

    Très intéressante cette dame. Quel dommage que Mr Vernochet lui coupe sans arrêt la parole. Comment ne peut-on pas remarquer lors d’un échange que la personne d’en face est excédée de ne pouvoir terminer son raisonnement. Il faudrait changer cette vieille habitude svp Mr Vernochet, je n’ai pas terminé le visionnage à cause de cela, le discours en devient inaudible.

     

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  • #1503574
    Le 6 juillet 2016 à 11:47 par goy pride
    Brexit : et si la City était pour ?

    Je vois les choses ainsi : après avoir vampirisé tous les pays de la sphère occidentale, en avoir sucé jusqu’à la dernière goutte toute la substantifique moëlle la finance apatride va désormais abandonner le navire à la dérive aux quelques éléments souverainistes et nationalistes de l’oligarchie. En d’autres termes "Merci les gars de nous avoir laisser piller et saccager vos nations sans trop de résistance, maintenant démerdez vous avec les ruines... !"
    La finance apatride planifie désormais de faire la même chose dans les pays comme la Chine, l’Inde, le Brésil...et si la finance apatride y parvient et que ces derniers pays sont à leur tour exsangues ils pourront se rabattre de nouveau sur la sphère occidentale qui peut être aura d’ici là récupéré, toutefois j’en doute car nous n’avons plus les ressources naturelles nécessaires pour produire de la richesse réelle à vampiriser. En effet pour qu’une économie soit vampirisable par la finance il faut des fondations solidement ancrées dans l’économie réelle...c’est peut être encore possible pour l’Amérique du Nord qui possèdent encore quelques ressources, mais l’Europe de l’Ouest est complètement exsangue...

     

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    • #1504103
      Le Juillet 2016 à 08:48 par gelindo
      Brexit : et si la City était pour ?

      "La finance apatride"

      Il faudrait commencer par définir par ce qu’elle est et sur quoi elle se base. Ce terme n’est pas entièrement correcte parce qu’ elle n’a pas droit de cité partout. Je ne vois pas non plus comme elle pourrait s’exercer en Chine sachant que le yuan, qui se livre une guerre sans merci contre le dollar, sera repris par toutes les instances financières (en 2017 ?) comme monnaie d’échange au même titre que le dollar. Toutes les tensions qui ont lieu tourne autour de la maintenance du dollar, qui est en train de tirer ses dernières cartouches, comme première monnaie d’échange. La peur des USA c’est que les Brics se tournent vers le yuan d’où tous les complots qui ont eu lieu récemment. Enfin, tant que tout cela n’affectera pas trop mon chômage, je m’en bats les c...

       
  • #1503697
    Le 6 juillet 2016 à 15:32 par nicolasjaisson
    Brexit : et si la City était pour ?

    La BRI est la principale empêcheuse de tourner en rond de la finance internationale, dans la mesure où c’est elle qui édicte les règles bâloises de gestion des risques, les fameux règlements Bâle I, Bâle II et Bâle III qui suivent invariablement chaque nouvelle crise financière. Cette banque a ceci de particulier que ce n’est pas véritablement une banque, mais plutôt un organisme de régulation qui réunit le gratin des experts financiers internationaux, la plupart du temps issus des banques d’investissement ou des banques centrales qui trouvent une nouvelle vie comme spécialistes des risques bancaires. Par exemple c’est la BRI qui a reconnu les dérivés de crédit comme des instruments valide de "transfert des risques", avant que la crise de 2008 ne révèle que ces mêmes instruments étaient utilisés comme des instruments spéculatifs. Les réglementations bâloises servent de base juridique et technique à l’élaboration des directives européennes et anglaises qui en sont la transposition dans leurs pays respectifs. Les DTS, dont il question à propos du yuan, joue un rôle mineur en termes de volumes d’investissement sur les marchés mondiaux. Le gros de la monnaie en circulation serait plutôt représenté par les marchés de dette et les produits dérivés. Or le yuan a loupé le rendez-vous de l’internationalisation monétaire, à cause du volte-face des autorités de Pékin, qui ont mis un terme à la libéralisation des capitaux sur le marché chinois, portant ainsi un coup d’arrêt au développement du marché actions en yuans ainsi que des marchés de la dette dans la monnaie chinoise offshore. Le contrôle des changes a considérablement freiné le Forex et l’intervention constante du gouvernement chinois, qui maintient au plancher les taux d’intérêt, empêche le développement des dérivés de taux et de change. Autant dire donc que le yuan n’est pas près d’évincer le dollar ou l’euro comme monnaie de réserve. Rappelons qu’une monnaie de réserve est surtout une monnaie librement utilisable et échangeable par les investisseurs sur des marchés libres. Or la Chine a nettement rompu avec la capitalisme libéral pour enfourcher derechef le cheval du marxisme-léninisme, dans le cadre de la remise à l’honneur du socialisme patriotique. La Chine limite donc la libre circulation des capitaux , ce qui a eu pour effet d’accélérer considérablement les sorties de capitaux, dues principalement aux remboursement des prêts en dollars US non refinancés.

     

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    • #1503801
      Le Juillet 2016 à 18:40 par paramesh
      Brexit : et si la City était pour ?

      La BRI est la principale empêcheuse de tourner en rond de la finance internationale




      je pense que vous plaisantez, historiquement et pratiquement la BRI est le navire amiral de la finance cosmopolite.
      les ACCORDS Bale I II et III ne sont que de la poudre aux yeux (trop long à expliquer dans un post, mais la jeune femme qui parle ici aurait toutes les compétences pour vous l’expliquer.
      Pour résumer ce sont des ACCORDS de banquiers entre eux, pas des réformes ou un contrôle, le sens des mots est toujours important.

      La BRI est le seul organisme financier qui ne nomme pas la FED comme banque mais les quatre banques fédérales (privées) qui la composent (rapport BRI 2012 consultable sur le net, car depuis ils ont "réctifié")
      la BRI jouit d’une parfaite extraterritorialité et d’aucune possibilité de contrôle, elle assume sa propre sécurité : c’est dans ses statuts approuvés par la CH.
      pour tous ces problèmes lisez la guerre des monnaies chez KK (pub), c’est le parfait petit manuel de la finance à l’usage des nuls (et des moins nuls). il y a d’ailleurs un chapitre qui parle de l’usage prévu des DTS comme socle d’une nouvelle monnaie internationale (et le bouquin a déjà quelques années. et il parle bien sûr du rôle primordial de la BRI qui est en fait la chambre de compensation de toutes les banques centrales du monde, la banque des banques centrales ; Et si vous faites le rapprochement avec une autre chambre de compensation (privée celle là) qui a défrayé la chronique : Clearstream, vous imaginerez aisément les secrets que couvre cette banque et surtout comment elle fonctionne. tout se décide là et pas ailleurs, c’est la banque qui dirige la finance, pas les traders.

       
    • #1504641
      Le Juillet 2016 à 19:50 par ipk74270
      Brexit : et si la City était pour ?

      Non nuance c’est la BREI (Banque de Régulation des Echanges Internationaux) dont le siège est à Bâle en Suisse (qui n’est pas dans l’Europe comme chacun sait) . Il faut être aveugle pour ne pas comprendre que depuis la création de la zone euro et sous couvert de neutralité la Suisse est le ver DANS la pomme pourrie de l’Europe et que son commanditaire n’est autre que l’Angleterre EN PERIPHERIE. Maintenant que l’Angleterre a bougé cela va être au tour de la Suisse dans les mois à venir. Nous rentrons dans le dur, l’accélération de la fragmentation est désormais inévitable à partir de l’Automne 2017

       
    • #1504685
      Le Juillet 2016 à 20:31 par paramesh
      Brexit : et si la City était pour ?

      Non nuance c’est la BREI (Banque de Régulation des Echanges Internationaux)



      une nouvelle banque ?
      j’ai cherché mais n’ai rien trouvé, pouvez vous nous donner un lien ?

       
  • #1503815
    Le 6 juillet 2016 à 18:55 par qsr
    Brexit : et si la City était pour ?

    autant qu’il fasse un monologue c’est fatiguant j’ai même pas terminé la vidéo

    malgré que c’était intéressant

     

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  • #1503960
    Le 6 juillet 2016 à 21:45 par Hugolin
    Brexit : et si la City était pour ?

    L’analyse de Valérie Bugault est vraiment intéressante.

    J’aurais souhaité qu’elle puisse complètement développer son argumentaire, mais celà semble difficile tant Mr Vernochet monopolise la parole.
    C’est une méchante attitude que j’ai déjà surprise dans d’autres de ses interventions à quatre yeux, il a tendance à couper l’herbe sous le pied de ses interlocuteurs avec des propos pas toujours à la hauteur de ceux que l’on lui connait habituellement. Ça me met souvent mal à l’aise pour ses invités. Du coup on ne sait jamais si la personne interrompue a réellement bien fait passer son idée.

    Mr Vernochet, laissez vos invités terminer leurs propos avant de parler s’il vous plait.
    Amicalement

     

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  • #1503961
    Le 6 juillet 2016 à 21:46 par la pince mon seigneur
    Brexit : et si la City était pour ?

    Brexit= immense sondage pour savoir si y a vent de révolte

     

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  • #1503972
    Le 6 juillet 2016 à 21:58 par outrunner
    Brexit : et si la City était pour ?

    Bien sur que c’est anticipé.. Plus aucune surprise l’agenda suit sa route, tout est sous contrôle.

     

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