Certains présentent Maurice Bardèche comme le vrai père du négationnisme et le professeur Faurisson comme son messie auto-proclamé. Pourtant, il se pourrait que les premiers documents pouvant être considérés comme négationnistes aujourd’hui ne soient pas l’œuvre de goyim « antisémites », mais celle du FBI rapportant des échanges lors de conférences d’organisations juives sionistes américaines !
En effet, selon des rapports officiels du FBI datant des années 1940-50 et déclassifiés en 1985, le rabbin Jamus G. Holler aurait déclaré lors d’une réunion, organisée par la Zionist Organisation of America (ZOA) au Jewish Community Center Auditorium de San Francisco le 18 novembre 1943 devant environ 1 000 personnes, que le nombre de juifs vivant en Europe occupée ne dépassait pas les 2 millions d’âmes [1].
Voici un extrait des rapports officiels :
« Le docteur Heller a estimé le nombre de juifs dans l’Europe occupée à 2 millions. Il a craint néanmoins que ce nombre puisse être réduit d’une façon significative si les nazis demeuraient en contrôle une année supplémentaire. »
Ce rapport va même plus loin puisqu’il mentionne aussi les intentions des organisations sionistes quand au « retour » vers le « foyer juif » :
« Le docteur Heller a re-mentionné le programme sioniste favorisant l’immigration juive vers la Palestine et un régime démocratique dans ce pays une fois que les juifs auraient acquis une majorité. »
Tout porte à croire que les organisations juives sionistes américaines étaient au courant que leurs homologues européens évacuaient les juifs. Est-ce la preuve que le FBI et la ZOA connaissaient l’existence du fameux Transfer Agreement (le contrat qui aurait été signé le 7 août 1933 entre le IIIème Reich et les sionistes allemands), permettant aux juifs qui le souhaitaient de quitter le Reich et l’Europe pour s’installer en Palestine avec tous leurs biens matériels ainsi que leurs capitaux financiers ?
Compte tenu des récentes prises de positions de Zonathan Ayoun (UEJF) envers le géant américain Twitter [2], du CRIF condamnant le business de l’antisémitisme [3] et de la LICRA poursuivant la maison d’édition Kontre Kulture pour des livres dont certains passages « incitent à l’antisémitisme et au négationnisme » et « causent à l’ordre public un trouble manifestement illicite » [4], il serait intéressant de savoir ce que pensent ces associations, elles aussi sionistes, de ce rapport finalement pas très éloigné des théories négationnistes qu’elles combattent aujourd’hui ?
Gageons que le FBI était, durant cette période sombre, infiltré par des espions nazis en mission !