Il faudra juste en cas de crise grave, espérer qu’il y aura toujours un approvisionnement en essence pour qu’il puissent faire fonctionner sa tronçonneuse pour couper les multiples stères de bois à stocker, qu’il doit couper chaque année pour prévoir chaque hiver, sinon il va devoir aller abattre, élaguer puis débiter en bûches de 30 à 40 cm chaque arbre qu’il lui faudra ensuite acheminer, tout ça avec une scie comme autrefois et avec une charrue et des boeufs pour amener tout ça.
j’ai une cuisinière bouilleur à bois raccordée au cumulus et aux radiateurs chez moi depuis peu, je trouve ça génial aussi et ultra économique mais je me dis que je suis toujours dépendant des compagnies pétrolières quand je vais chercher mon bois.

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Vous imaginer si la france avait une independance energetique ainsi que sa gratuité
Alors il serait inutile de faire la guerre de depradation
Ce qui veut dire que le peuple sera unis et soudé
Tout l’economie réel serait articulé autour de cette energie
Tant que les politiques sont la par pur interet (manifeste ou non) alors le peuple sera toujour maintenu a l’age de pierre du point de vu energetique
Il faut crée une société alternative qui eliminera la precedente par son adhesion massive
Finis le culte de l’argent,fini la competition,fini la confrontation,Bonjour le compromis,bonjour le consinsus,bonjour la negociation
Ceux qui maine la baguette crée la division au sain du peuple ; pour qu’elle soit pérenne il faut qu’ils soient solidaires entre eux

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Pour info, je vous relaie la communication effectuée par terre.tv (je ne sais pas qualifier la position de cette source, son ancrage social et politique) sur le sujet de "l’habitat durable" (Newsletter du 26-06-2013), plus précisément "La Biennale de l’habitat durable" qui s’est déroulée à Grenoble du 13 au 14 juin.

Thèmes des chapitres principaux : « Ecocité, Ecoquartiers, Rénovation thermique, Nouvelle donne énergétique et L’humain au coeur de la ville ».

En développant un peu, on y trouve (la mise en gras est de moi) :

 « Expériences des écoquartiers en Europe et en France. Quelles leçons en tirer ? Vision d’avenir. »
 «  Rénovation thermique : qu’est-ce qui bloque ? (...) chantier énorme jusqu’en 2050. (...) quelles sont les méthodes et solutions ?  »
 « Comment l’écocité privilégie la place de l’homme (...) Espaces publics et nouvelles pratiques. »
 « Mener une rénovation thermique en site occupé  »
 « Du Grenelle au débat national sur la transition énergétique : évolution des règlementations, normes énergétiques et environnementales RT2012-RT2020-BEPOS-TEPOS. »
 «  le bois fait un retour général dans la construction et pas seulement sur les façades. Comment mobiliser les élus et professionnels ? Quels niveaux de conception et de détail ?  »

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Dans la même "veine" : http://vimeo.com/28676720
_ ;-)

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Merci pour les liens ;
Mais ne rêvons pas ; si la bande intertropicale n’est pas reforestée ou si on n’arrête pas de la déboiser(afrique,amazonie,sud-est asiatique) c’est l’éspèce tout entière qui s’éteindra ;
On ne s’en sortira pas dans le nord si on n’agit pas dans le sud,et l’inverse est vrai aussi(vu que les pays du nord exploitent et pillent les pays du sud)

En fait il y’a une quantité faramineuse de légumes qui poussent en milieu tropical..c’est une connerie de le nier ; pour qu’une plante pousse il faut la convergence de la chaleur et de l’humidité. Mais donc les étés en sibérie et au canada donneront plus de fruits et légumes qu’en méditérannée ou en france vu qu’à une meilleure convergence humidité+chaleur.
En milieu tropical, subtropical, méditéranéen(le plus dur climat du monde) sahélien(moins dur de reverdir ça que la méditérannée car 1 pluie en été fait la différence, dans le var,pas de pluie en été, au sahel oui)
Il est évident qu’il faille cultiver les herbacées/légumes sous les arbres de même qu’il est évident(enfin..biologiquement et botaniquement) de faire pousser les agrumes à l’ombre d’autres arbres, vu que ce sont des arbres ombrophiles de sous-étages forestiers asiatiques.

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Je me souhaite d’arriver, ce ne serais-se qu’à la moitié du chemin qu’il a parcouru.

Un petit bémol, de curiosité tout de même sur le fait qu’il plante des arbres non originaire du terroir sur son terrain. Un peu comme les moutons et les lapins en Australie, ça part d’une bonne attention, mais on a quelques exemples plutôt désastreux d’introduction d’espèces animales ou végétales par la main de l’homme dans un milieu qui n’est pas le leur.

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