C’est bien connu, les grands de ce monde aiment bien jouer les mages. Ils sont très intelligents, beaucoup plus que nous, et comme ils sont très grands, ils voient plus loin. Ça rappelle les premiers singes qui sont descendus des arbres, pour marcher avec prudence dans les hautes herbes, la station debout permettant de voir le danger. Ceux qui sont restés dans les arbres, eh bien, tant pis pour eux, ils sont restés de pauvres singes.
Mais la comparaison s’arrête là : si nos ancêtres bipèdes ont gagné en vision, nos singes mondialistes, eux, ont une vision beaucoup moins solidaire pour le groupe (humain) : à l’horizon, ils voient et ne préparent que ce qui va dans le sens de leurs intérêts. C’est ça, l’eschatologie moderne : le bonheur de l’oligarchie, au détriment de milliards d’êtres humains qui sont dans la soute, et qui souquent, la plupart avec une piqûre d’antirévoltant dans le bras. Sur le pont, tout est luxe, calme et volupté. Jusqu’à ce que la révolte monte des cales...
Bill, le pote d’Epstein, avait donc prévu le coronavirus, au point qu’il avait déjà travaillé sur un scénario de pandémie mondiale, avec intervention de l’OMS dont il est, ô surprise, l’un des plus gros contributeurs. Quelle prescience ! Les complotistes appellent ça une prophétie autoréalisatrice, les gens naïfs du génie. Là où les dernières prévisions du Jacques Attali américain sont plus inquiétantes, si on peut faire plus inquiétant qu’une pandémie mondialiste destinée à mettre les peuples et leurs revendications économico-sociales à genoux, c’est l’utilisation de métaverse, la dernière saloperie, pardon, innovation de Facebook.
Pour le petit Zuckerberg, cet employé de la CIA, nous aurons tous bientôt des avatars numériques et nous nous en servirons pour des réunions virtuelles. Le projet intéresse à la fois Facebook et Microsoft, ces bienfaiteurs de l’humanité, ceux qui nous rendent le quotidien plus facile, tout en pompant nos données et en surveillant nos pensées.
L’une des pires dystopies des romans de science fiction est en passe de devenir réalité. Êtes-vous prêt à plonger dans l’ère du métaverse ? Un univers parallèle entièrement virtuel que développent les géants du web. Il permettra à chaque individu de mener une seconde vie numérique à l’aide d’un avatar.
Mais l’essentiel pour l’hyperclasse mondialiste, c’est bien le secteur de la santé, c’est-à-dire le pouvoir total sur les corps, après avoir domestiqué les esprits (via les médias mainstream, les réseaux sociaux, la propagande, la censure et l’école en carton). Le croisement entre les données de santé et les algorithmes, voilà la clé du pouvoir et du futur, et le passeport numérique qui se profile, en Europe, est sur le chemin de cette évolution.
De nos jours, pour passer des examens annuels ou faire des analyses, il faut se rendre chez le médecin. D’après Gates, à l’avenir, il se pourrait que les gens n’aient plus besoin de se déplacer pour parler à leur médecin. Les consultations pourraient se faire à distance à l’aide d’un appareil capable de voir les données sur le patient, ces données étant recueillies par un moniteur de santé. La montre intelligente pourrait servir de moniteur. (fredzone.org )
Quand on a la santé, tout va, dit le proverbe. Le couple Big Pharma-Big Tech est 100 % d’accord : quand on a la santé de milliards de clients, on tient leur vie entre ses mains. Le covid n’est que la première marche vers la délégation de notre santé à ces supercalculateurs. Tout le reste, les prévisions à la con, l’univers consolateur virtuel, ne sont que poudre (poutre ?) aux yeux pour les naïfs. Voilà pourquoi le Big Tech fonce vers la recherche à la fois biologique et mathématique.
En attendant, ce bon vieux Bill, qui était un des bons clients du Lolita Express, l’avion qui amenait les membres de l’hyperclasse vers une île paradisiaque, sorte d’Oasis de métaverse (déjà !) peuplée de jeunes filles à violer (et peut-être de garçons, vu qu’il y avait aussi du gros pédo sur place), nous conseille de nous faire piquer chaque année contre la grippe et le covid, conjointement.
« Dans quelques années, j’espère que le seul moment où vous devrez vraiment penser au virus sera lorsque vous vous ferez vacciner conjointement contre le Covid et la grippe »
Bill confirme tout ce qu’on a pu imaginer, sur E&R, en termes de basculement dans la dystopie, avec écroulement collatéral de nos bons vieux services publics, comme l’Éducation nationale. Confirmation avec cette traduction signée RT et titrée « vers une numérisation de l’humanité ? » (on peut retirer le point d’interrogation, au point où nous en sommes...) :
« Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous ne faisons que commencer à voir comment la numérisation va changer nos vies », estime par ailleurs le multimilliardaire au regard des changements sociétaux induits par l’accélération, pendant la pandémie, d’évolutions sur les plans organisationnels et technologiques. Bill Gates se félicite ainsi du développement de la télésanté ou encore de la télé-éducation. « Les rendez-vous virtuels présentent tellement d’avantages que je pense que ce nouveau modèle est là pour rester », écrit-il par exemple au sujet des téléconsultations médicales.
« Si vous êtes enseignant […] un simple clic sur un bouton vous indiquera que l’élève X a besoin d’aide pour répondre à un type de question particulier et que l’élève Y est prêt à se lancer dans un travail de lecture plus avancé », avance-t-il encore concernant l’éducation. Bill Gates se réjouit aussi que la pandémie ait permis une bascule massive vers le télétravail pour les secteurs d’activité le permettant. « Nous approchons d’un seuil où la technologie commence à reproduire véritablement l’expérience d’être ensemble au bureau », considère-t-il à ce sujet, prônant par exemple un modèle permettant aux télétravailleurs d’obtenir « un écran très bon marché et un endroit physique où le placer » afin qu’ils puissent voir en direct leurs collègues assis à distance. « Vous pourriez regarder l’écran pour voir ce que tout le monde fait (sauf quand quelqu’un veut avoir de l’intimité et éteint la caméra) », s’enchante-t-il.
Bill Gates partage en outre son enthousiasme concernant les logiciels en développement qui pourraient progressivement permettre à l’humanité d’interagir dans des espaces virtuels. « L’idée est qu’à terme, vous utiliserez votre avatar pour rencontrer des gens dans un espace virtuel qui reproduit le sentiment d’être dans une pièce réelle avec eux », écrit-il à ce sujet.
Franchement, dans le BillGatesLand, ça va être l’éclatche. On se demande si cette vie virtuelle n’est pas déjà une vie après la vie, une espèce de réincarnation de son vivant, mais à Disneyland. Une vie éternelle, mais de merde.
Question à Bilou : est-ce qu’on pourra avoir un avatar qui baise des jeunes filles mineures, par exemple sur une île paradisiaque avec tout le confort possible et imaginable, moins les caméras du Mossad ?