C’est une véritable course contre la montre : avant que l’ouragan antiwoke venu des USA n’aborde les côtes françaises, le gouvernement se dépêche de former des générations d’enfants hypersexuels, c’est-à-dire corvéables et baisables à merci.
Il s’agit, ni plus ni moins, d’un viol mental à grande échelle sous prétexte d’éducation au respect, un viol de masse destiné à rendre les enfants plus dociles avec les pédophiles et mieux préparés à l’homosexualité ou au changement de sexe. Pas trace d’amour hétérosexuel ni de famille dans le paquet, et ne parlons pas du romantisme.
Pendant ce temps, le niveau s’écroule, une démolition très contrôlée. Pour l’oligarchie, c’est raccord : des enfants formés à toutes les sexualités dès le cours élémentaire et incapables de réfléchir, c’est du gâteau ! Les élites pédocriminelles, qui sont en train d’être dévoilées à l’échelle mondiale, ce n’est pas un fantasme.
« Ce programme porte sur la vie affective et relationnelle dans le premier degré, et on aborde les questions d’éducation à la sexualité dans le second degré. »
C’est la très douce Borne, pas vraiment hétérosexuelle, qui est en charge de cette formation continue. Sur France Inter, avec le Demorand et la Glucksmann, elle est en lieu sûr.
Le Figaro a eu accès à ce sympathique programme :
À l’école maternelle et élémentaire, le programme est centré sur la vie affective et relationnelle. En maternelle, il prévoit la prise en considération du corps, des sentiments, des émotions, du respect de l’intimité et de l’égalité entre filles et garçons.
Avant quatre ans, il s’agit de connaître son corps (nommer ses différentes parties), d’avoir conscience de l’intimité, d’apprendre à « exprimer son accord ou son refus », ou d’être sensibilisé à l’égalité entre filles et garçons (comprendre par exemple qu’une activité ou un métier peuvent être choisis par tous).
Ce projet dégueulasse qui prend en otages les enfants dès la maternelle ne fait pas sursauter la presse mainstream, même si elle devine quelques mauvaises intentions derrière. On attend un sursaut citoyen., ou alors les Français sont définitivement masos.
Dans le programme détaillé par Le Figaro, il n’est question que de genre, de discrimination et de violences sexuelles. Comme s’il fallait confronter les enfants dès leur plus jeune âge, alors qu’ils ne sont formés ni physiquement ni moralement, à une sexualité adulte, avec des mots d’adultes, et un projet politique...
Il y a peu, des salopards voulaient piquer tous les enfants avec un pseudo-vaccin bourré d’effets secondaires ; aujourd’hui, d’autres salopards, parfois les mêmes, veulent remplacer l’instruction par la pénétration. C’est quoi leur problème avec les enfants ? Pourquoi veulent-ils leur faire du mal ? Là, on est vraiment dans un questionnement sur le satanisme. Un satanisme qui se cache derrière des mots lénifiants comme « respect », « droits », « différences »...
@liberator2701 trump fait la guerre au wokisme !! #trump #interview #info #actu ♬ Original Sound - Unknown
Il y a 11 ans, les Journées de retrait de l’école (JRE) avaient répondu à la même tentative – alors incarnée par le ministre Belkacem, très proche de Valls – d’hypersexualisation des gosses. Beaucoup de musulmans français avaient rejoint les chrétiens insoumis pour s’opposer à la prise d’otages de leurs enfants.
On le voit, le Système, lui, n’a pas renoncé à son projet maléfique.
En élémentaire : changements du corps, violences, stéréotypes et numérique
En élémentaire, les élèves se voient notamment présenter des connaissances scientifiques plus précises sur leur corps (avec un vocabulaire adapté à leur âge) et leurs émotions. À partir du CM1, ils apprennent aussi à connaître les principaux changements du corps à la puberté, à repérer les situations de harcèlement ou à comprendre les stéréotypes pour lutter contre les discriminations (par exemple lire des textes pour identifier les inégalités femmes/hommes dans l’histoire).
En CM2, les enfants apprennent aussi à repérer et se protéger des violences sexistes et sexuelles, ou à connaître leurs droits pour un usage sécurisé du numérique (dangers d’Internet et des réseaux sociaux, interdiction des réseaux aux moins de 13 ans...).
Au collège : adolescence et appréhension de la sexualité
À partir du collège, le programme aborde la sexualité. Il s’agit d’aider les élèves à « comprendre et à vivre sereinement » les changements dont ils font l’expérience et « appréhender progressivement » la notion de sexualité « dans l’ensemble de ses implications ». Ils doivent appréhender les changements du corps et le respect des autres en 6e, l’orientation sexuelle et le fait de développer librement leur personnalité, notamment en 5e où ils apprennent à « différencier sexe, genre, orientation sexuelle et respecter leurs diversités ». (...)
En 3e, les élèves doivent être amenés à « interroger les liens entre bonheur, émotion et sexualité », « savoir reconnaître et caractériser des contextes de danger et de vulnérabilité » (risques, mécanismes d’emprise...), les violences sexuelles ou les discriminations.
Au lycée : connaissances plus complètes et questionnement
[...] La classe de seconde permet d’« explorer les tensions entre l’intime et le social » (dont la protection à l’ère des réseaux sociaux). Les élèves doivent, entre autres, « comprendre que les différences biologiques entre les femmes et hommes ne déterminent pas les expressions, les comportements et les rôles attribués au genre +masculin+ et +féminin+ ». Pour la première fois dans le programme, il est proposé, « à partir de témoignages », de leur faire « prendre conscience que le sexe biologique peut ne pas correspondre à son identité de genre ».
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