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Alexeï Pouchkov : « Ce qui se joue en Ukraine, c’est l’ordre international du XXIe siècle »

Interview du sénateur russe Alexeï Pouchkov, président de la commission pour l’information et les médias du sénat, qui revient notamment sur l’Occident va-t-en guerre, de plus en plus déclassé et isolé.

 

 

Pouchkov, sur E&R

 






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10 Commentaires

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  • Le va-t-en guerre jusquaboutiste des poliques européens contre la Russie plonge ses racines dans le désir inconscient —ledit wokisme— qu’a renié Trump, de détruire, non la Russie elle-même mais ses fondations anthropologiques : le patriarcat...de Moscou ou d’ailleurs...

    Les politiques européens, après des années de féminisme fanatique, ne sont plus que les petits soldats sans maturité dévoués à Sainte Ursule, leur sainte mère à tous.

    Voilà.

     

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    • Après l’idéologie ca n’explique plus rien à partir d’un certain niveau .

      Tout ça est difficile à interpréter parcequ’objectivement l’Europe se tire une balle
      dans le pied après l’autre, comme évoqué dans l’entretien.
      Et comme l’a souligné Poutine lui-même.

      L’Europe joue objectivement contre ses intêrets, ou contre l’interêt de ses peuples.
      L’explication la plus simple c’est que ce sont tous des vendus.
      Ils sont prêt à travailler pour Washington jusqu’a éradiquer leur propres économies,
      leurs propres niveaux de vie.

      Nous en sommes à ce niveau de colonisation.
      Non seulement on détruit nos propres capacités, mais on s’interdits les autres marchés...
      Qu"est-ce qu’il reste ? sinon acheter aux USA , du hamburgeur au petrol, en passant
      par les outils, les ordis, et les godasses ?

      De là le mépris pour le destin des Européens, des Ukrainiens, etc, ca va de soi.
      Si on travail pour les USA, on en a rien a foutre des européens, comme l’a annonçé
      Nuland dès le début du "maidan" : Fuck EU !

      On livre pieds et poings liés 400 millions de consomateurs au marché US.
      C’est pas plus compliqué.
      Quand on voit commebt les USA traite leur propre population (au fentanyl)
      vous pensez bien l’estime qu’ils ont pour l’ancien monde.

       
    • Vu une fois, vu vingt fois : pour ce qui nous concerne, ce commentaire mien peut être retiré sans demeure. Car je suis convaincu qu’il ne convainc que moi... ou ceux qui sont déjà convaincus par exérience propre, comme c’est toujours le cas. À quoi bon ?

       
  • Ce Monsieur est né en Chine, (à Pékin)
    dans une famille de diplomates Russes,
    il à étudié plus tard en Russie (le francais notamment).

    Il est plus articulé, concis et clair
    que certains porte-parole du gouvernement,
    que nos énarques et autres responsables politiques.

    Ca vous donne une idée du niveau. ..et il parle au moins 5 langues.
    Ce qui était commun en Europe pour un diplomate il y a encore 75 ans...
    de parler couramment 5,6,7 langues.

    A méditer.... depuis on ne parle plus que l’Américain... même pas l’Anglais.

     

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    • Écoute simplement les ministres, responsables ou chefs d’états africains sur RT : français châtié, vocabulaire riche, références... et leur cv parle souvent de lui-même.

      Pour nos ploucs il y a le rempaillage des chaises en Camargue sur la 2, sur la une tu as le petit dealer qui fé des roues arrières, woualakoi.

      Euh, j’oubliais : RT inaccessible sans vpn, logique, le choc culturel pourrait nuir aux autochtones.

      Je reprends des moules.

       
  • Ce Monsieur Pouchkov dresse un tableau intelligent des relations entre la Russie et l’Occident mis en perpective depuis 30 ans.

    Lorsque la défaite de l’Ukraine sera totalement actée, il sera vraiment drôle (si on peut dire) de voir la tête de Macron.

    Des trois imbéciles européens (Macron, Merz et Starmer), Macron incarnera le vaincu par excellence pour la raison qu’il est au pouvoir depuis le début du conflit en Ukraine.

    Il quittera en 2027 le pouvoir sur un échec total dans tout les domaines pour la France : financier avec la dette, économique avec le déclassement de l’Occident vis à vis des émergents et militaire avec une incapacité de mener une guerre de haute intensité.

    Je crois que la gifle qu’il s’est prise en sortant de l’avion récemment est symbolique de ce qui lui attend.

     

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  • Ils croient—dans leur suffisance crasse et leur aveuglement moral—qu’en livrant une guerre contre la Russie, ils l’affaiblissent. Qu’ils sont attendrissants dans leur bêtise en uniforme, eux qui croient encore que les sanctions sont des sabres et que les tweets sont des épées.

    Je vous le dis : si réellement l’on voulait en finir avec cette fange occidentale dégénérée, ce marécage de moraline frelatée et de sanctions à géométrie variable, alors c’est maintenant qu’il faut porter le feu et le fer. Pas demain. Pas plus tard. Car plus tard, il sera trop tard. L’Empire du Mensonge, comme le nomment les sages de l’Est, aura renforcé ses chaînes, colmaté ses fissures, recyclé ses pantins.

    Le peuple russe, lui, n’a pas honte d’aimer son chef. Il ne ricane pas en sabordant son propre pays par conformisme lgbt de la grande loge des alcooliques anonymes. Poutine n’est peut-être pas un ange — je saurais les reconnaître, croyez-moi — mais il incarne cette antique vertu que l’Occident a crucifiée : la loyauté à la patrie.
    Lui ne trahit pas, il gouverne. Il ne se prosterne pas, il combat. L’Europe, quant à elle, s’éparpille en fragments hystériques, gouvernée par des technocrates sans feu ni foi, qui se croient éclairés parce qu’ils ont lu deux articles dans The Economist.

    Soyons clairs : vous pouvez bien être des nazis si cela vous chante — l’histoire n’a jamais manqué de monstres. Mais si vous n’avez pas la prestance, la discipline, l’effroi sacré d’un Hitler, alors vous ne serez qu’un grotesque pastiche, un général de plateau télé avec des drapeaux en plastique. Et vous irez faire votre guerre tout seul, comme un gland, sans peuple derrière vous, sans destin, sans tragédie.

    Car la guerre n’est pas une tendance, c’est un jugement dernier. Et ceux qui s’y aventurent sans y croire meurent deux fois : d’abord dans l’oubli, ensuite dans le ridicule.

     

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  • Ils ont quand même bien profité du nouvel ordre mondial de Yalta en 1945 ! Et ils le célèbrent toujours le 8 ou 9 mai !

     

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