C’est le subconscient de Yann Barthès qui s’est exprimé, ce jour-là. Il est lui aussi une Quenelle en devenir, il souhaite la révolte des Quenelles, je crois qu’il aime son métier et qu’il souhaiterait pouvoir l’exercer dans un cadre mondial plus apaisé, plus serein, plus fraternel.
Comme nous, il vit (à tort) dans la peur et la soumission au système, comme nous, je crois qu’il rêve de pouvoir renverser ce système criminel dans lequel nous sommes enfermés.
Cela ne se voit pas, bien entendu, mais il y a des barreaux derrière la caméra du studio et des barreaux derrière l’écran de télévision du téléspectateur.
Loin d’être le salut nazi inversé, la Quenelle est le symbole de la liberté et je crois que Yann Barthès chérit lui aussi, la liberté. Et je crois qu’il croit que cette liberté est possible, que ce n’est pas qu’une utopie, que c’est un appel profond et une aspiration divine.
Face à Lucifer, il fallait bien un Dieudonné mais ce n’est en aucun cas à l’homme qu’il faut s’en remettre car ce serait perdre une liberté à peine conquise. La véritable liberté, c’est celle qui est sans limite car elle est juste et bonne. La véritable liberté, c’est de ne pas franchir les limites, c’est être un extremum (un extrême-homme).
La Quenelle est un acte de résistance face à l’oppresseur, elle est le symbole de l’antinazisme français.
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