Le corps, ce temple, que les marchands ont piétiné en 2020 avec leur pandémie préfabriquée, puis leur injection anti-immunité en 2021 qu’ils ont appelée vaccin pour enfumer les peuples, est notre bien le plus précieux.

Depuis, tout a changé : des couples se sont séparés, des familles ont explosé, des heurts ont éclaté entre pro et antivax, pro et antipass. Des commerçants ont fermé leurs portes aux « antivax » en 2021 et 2022, se tirant une balle dans le pied, puis la jambe, puis la tête.

Antivax est devenu le nom de ceux qui veulent conserver un corps sain, malgré l’agressivité du Big Pharma, qui vient d’ouvrir, la crédulité et la soumission aidant, le plus grand marché du siècle, et du futur : celui du corps.

Hors de notre corps, marchands du temple !

Cette frontière, qu’on appelait encore il y a peu intégrité physique, a été violée par les oligarques et leurs servants, tous au service des superpuissances du mal, au vrai sens du terme, ces groupes pharmaceutiques qui constituent le Big Pharma, et qui peuvent s’acheter n’importe quel gouvernement (sauf le russe et ceux des pays insolvables).

D’autant plus qu’ils ont raflé des fortunes avec leurs pseudo-vaccins, imposés à des peuples tremblants qui ont vécu trois ans de sidération. Multishootés, beaucoup ne s’en sont pas relevés, et encore plus en garderont des séquelles à vie, physiques et mentales.

Il n’y a plus débat aujourd’hui : la dangerosité de ces injections, en plus de leur inutilité est prouvée. Non seulement les doses de Pfizer ou Moderna ne protégeaient pas de la contamination, mais elles ne protégeaient pas non plus de la maladie. Les multivax étaient donc à leur insu porteurs et diffuseurs, alors qu’on leur vendait le contraire.

Qui, on ?

Le combo entre la haute médecine, qui ne mérite plus ce nom, et l’oligarchie médiatico-politique. Ces deux groupuscules sont responsables de la psychose et du crime de masse qui a suivi. Rien que les milliers de morts par Rivotril dans les Ehpad sont de leur responsabilité, et ne seront jamais oubliés.

Résistance et réinformation sanitaires

Toutefois, à quelque chose malheur est bon : une frange grandissante de la population, au fur et à mesure que les résultats de la vaccination de masse devenaient moins probants, a découvert l’importance de conserver son immunité, naturelle s’entend, puisque les marchands de maladies veulent justement nous refourguer de l’immunité artificielle, avec toujours, comme pour le logiciel de surveillance Pegasus, une petite trappe dans laquelle s’insinuera un virus de laboratoire...

Une frange grandissante de la population a pénétré le fonctionnement du système immunitaire, ce trésor ; s’est intéressée à la protéine Spike et à ses effets sur nos organes ; a débunké la communication des ministres successifs de la Santé, aux ordres des superpuissances du mal ; a prévenu ses proches des dangers d’une obéissance aveugle à un pouvoir lui-même aveuglé par le profit et le désir de domination ; a développé une résistance magnifique, qui, soutenue par de grandes figures de la recherche médicale et de la médecine, a démoli le récit démoniaque du Système.

Résultat : plus personne ou presque, à part deux ou trois tarés restés bloqués sur la tyrannie covidiste, ne se risque à lancer une nouvelle vague de vaccination forcée.

Les anciens et les enfants ont beaucoup souffert. Le politique a eu la peau des premiers, surtout des octogénaires et de ceux atteints de comorbidité, et il a voulu la peau des seconds, c’est-à-dire les piquer contre l’avis de leurs parents.

Les dégâts produits sur les « vaccinés » – on devrait dire les désimmunisés, ou à l’immunité affaiblie – sont incommensurables : nous n’en sommes qu’au début du scandale du siècle.

Pour mémoire...

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